Samedi 22 février 6 22 /02 /Fév 15:56

J'étais dans la chambre d'hôtel depuis déjà quelques minutes. Allongé sur le lit, je l'attendais. Je lui avais envoyé le numéro de la chambre. Hier soir, je lui avais confirmé l'heure et lui avait donné comme instruction de venir en jupe, talons, lingerie sexy.

Elle a frappé à la porte. Je me suis levé.
« Oui c'est qui ?
- Une petite voix m'a répondu Nathalie.
- Je n'attends pas de Nathalie.
- ..., je la sentais perplexe derrière cette porte
- Je viens pour... J'obéis. Le dernier mot étant prononcé on ne peut plus timidement.
- Tu obéis ! À qui ? Et pour quoi faire ? Sois plus précise !
- Je vous obéis Monsieur, je viens pour être votre soumise.
- J'ai appuyé sur la poignée, la porte s'est entrebâillée. Tourne-toi, dos à la porte, mains dans le dos. Pose ton sac et ton manteau au sol.
- Bien Monsieur. Je l'ai entendu faire demi-tour, son sac et son manteau froisser la moquette du couloir.  »

J'ai ouvert la porte en grand. J'ai jeté un œil à droite et à gauche. Je lui ai posé un bandeau sur les yeux. Puis, j'ai attaché ses mains dans le dos. J'ai ramassé le sac et le manteau, je suis rentré et les ai posé dans un coin de la chambre. Je suis revenu vers la porte, elle n'avait pas bougé. J'ai revérifié que le couloir était bien vide. « Écarte les jambes ! ». Elle a doucement écarté ses pieds. Le mien est venu s'insérer entre les siens et les a forcé à augmenter l'amplitude de l'écartement.

J'ai gardé ma jambe entre les siennes, mon corps frôlant le sien. J'ai posé mes mains sur ses hanches et mes doigts ont lentement remonté sa jupe jusqu'à découvrir son cul. Elle a poussé un léger soupir. Ma vue plongeante avait découvert un string noir. La ficelle se perdait entre ses fesses. Ma main gauche a maintenu la jupe, la droite a écarté la ficelle puis a plongé dans l'entre-jambe.

« Tu mouilles déjà comme une chienne en chaleur !
- Vous m'excitez terriblement Monsieur.
- C'est moi qui t'excite ou l'idée de te faire prendre comme une traînée par un homme qui n'est pas ton mari ?
- Les deux, Monsieur »

À cet instant j'ai entendu un bruit au bout du couloir. J'ai entouré son bassin de mon bras gauche et je l'ai tirée en arrière. J'ai fermé la porte avec le pied et je l'ai plaqué contre la porte refermée. Ma jambe droite de nouveau entre ses jambes écartées. Ma main droite, sous sa jupe, n'ayant pas quitté sa chatte. Ma bouche contre son oreille, nous avons écouté passé 2 employés dans le couloir de l'hôtel. Mes doigts frottant son clitoris puis s'insérant dans sa chatte trempée.

«  Tu dégoulines complètement. Tu es excité comme une salope qui n'a pas baissé depuis des semaines !
- Oh oui Monsieur, je n'en peux plus, j'ai envie de vous.
- Doucement ma salope, tu peux encore tenir !  »

Je reprends son bassin avec mon bras gauche et la fais pivoter vers l'intérieur de la chambre. Ma jambe pousse pour l'inciter à avancer. À petits pas, ma main toujours dans sa chatte, elle avance et pénètre dans la chambre. Je la dirige vers une table posée contre le mur. Ses cuisses viennent toucher le bord de la table. « Couches-toi sur cette table !  » et en même temps ma main gauche appuie sur son dos et mon pied ré-écarte les siens.

Mes deux mains re-soulèvent sa jupe et cette fois la bloquent définitivement au-dessus de ses fesses. J'attrape deux cordes et attaches chacune de ses chevilles à un pied de la table. Je me place à côté d'elle, ma main gauche dans ses cheveux la maintenant plaquée contre la table, la main droite donne une claque sur chacune de ses fesses.

Un «  Aie » spontané s'échappe de sa bouche.
«  Pardon ?
- Excusez-moi Monsieur, je n'ai pas l'habitude.
- Il va falloir la prendre. Quand je te claque ainsi je veux t'entendre dire "Merci monsieur, je veux que vous vous occupiez de mon cul".
- .... Deux nouvelles claques retombent sur ses fesses.
- hum, étouffé. Merci monsieur. Je veux que vous vous occupiez de mon cul.  »

Ma main droite se pose sur ses fesses, les caresses doucement. Puis, elle tire le string vers le bas. Ses jambes écartées le maintiennent coincé à mi-cuisse. Mon majeur et l'index écartent sa chatte et la pénètre. Mon pouce se place sur son anus et commence à le masser pendant que les deux autres branlent sa chatte. « Je vais bien m'en occuper de ton cul de chienne » tout doucement, son petit trou se détend, mon pouce s'enfonçant juste en le massant. Une petite pression supplémentaire et le voilà dans son cul. Mes doigts, telle une pince, dans son cul et sa chatte, commencent de plus en plus rapidement mouvement. Allongée sur la table, elle souffle et gémit. Avant qu'elle jouisse je retire ma main. J'attrape un petit rosebud et le pose sur son anus. Le froid de l'objet la fait sursauter. Je masse son petit trou avec la pointe du rosebud et doucement l'insère dans son cul en chaleur.

Ma main gauche tire sur ses cheveux et l'oblige à se redresser. Je l'embrasse à pleine bouche. Sa langue me répond avec fougue. Je la laisse ainsi, debout, jambes attachées à la table. Je me déshabille doucement. Je m'assieds sur la table, dos contre le mur. Je déboutonne son chemisier, fait sortir ses seins de son soutien-gorge en dentelle. Je l'embrasse à nouveau. Ma main sur sa nuque. «  Maintenant tu vas me sucer !  » Ma main attire sa tête vers mon sexe dressé. Elle ouvre la bouche. Je lui enfonce ma bite jusqu'aux couilles et je la maintiens dans cette position humiliante, mains attachées dans le dos, jambes attachées et écartées contre la table, la nuque bien dégagée, ma main tenant ses cheveux ramenés en queue de cheval. Je sens sa bave couler lentement de la commissure de ses lèvres et tomber sur mes couilles. « Hum, ta bouche est bien chaude, je vais la baisser avant de m'occuper de ta chatte et de ton cul »

Ma main tire ses cheveux en arrière et la redresse. Je lui détache le bandeau. Nos yeux se croisent pour la première fois aujourd'hui. Son maquillage commence à couler sous l'effet de la transpiration et de cette gorge profonde qui lui a fait monter les larmes. Je l'embrasse à nouveau, encore plus longuement. Je me mets à genoux sur la table. Mes deux mains sur sa tête l'obligent à venir avaler mon sexe. Elle ouvre encore la bouche en bonne soumise. Mes hanches commencent à onduler, mon sexe coulisse dans sa bouche, sur sa langue. Doucement, puis de plus en plus vite, et avec des mouvements de plus en plus amples. Je l'encourage « Allez, tu la sens au fond de ta gorge ? Je te défonce bien la bouche, là. Je vais me vider sur ton beau visage ». Ma bite sort de sa bouche. Je fais des pauses où je pose mon gland sur la langue tendue. Je lui baise la bouche comme ça, longuement, jusqu'à lui éjaculer mon sperme au visage.


Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Samedi 5 octobre 6 05 /10 /Oct 23:38
Elle a ouvert la porte de la cave et est entrée. Je l'ai suivi. J'ai refermé derrière moi. La pièce n'était pas grande et très encombrée. Je lui ai pris le bras.
- Mets-toi face à la porte. Penche-toi en avant, mains sur la porte et jambes écartées.
Elle a posé ses mains sur le haut de la porte et a reculé ses pieds.

Nous étions dans la cave de son immeuble. Nous étions entré par une porte de service sans se faire remarquer. Il était aux alentours de 18h30. Son mari et ses enfants l'attendaient plus haut sans savoir qu'elle était déjà là, dans les sous-sols.

J'ai placé un pied entre les siens et j'ai donné un petit coup à droite et à gauche. Docilement, elle a écarté les jambes. J'ai remonté sa jupe sur ses fesses et j'ai déchiré ses collants à l'entre-cuisses. Elle a sursauté. Ma main s'est glissée entre ses fesses et est descendue jusqu'à frotter sa chatte et son clitoris. Mes doigts ont écarté son string et se sont insérés dans sa fente.
- Tu mouilles déjà ma salope. Ça t'excite de te faire doigter quelques mètres sous les pieds de ton mari .
- Oui Monsieur, la situation m'excite beaucoup.

 

On se connaissait depuis de nombreuses semaines mais c'était notre première rencontre. Nous tchations régulièrement, la température montait vite. Elle avait parfaitement enfilé la combinaison de la soumise virtuelle. En plus des dialogues chauds, elle exécutait des défis à ma demande et m'envoyait régulièrement les photos prouvant qu'elle avait obéi.
 
J'ai commencé à la branler énergiquement. Le pouce dans sa chatte, le reste de ma main qui frottait vigoureusement son clito. Mon autre main claquait son cul. Son déhanchement et ses gémissements ne laissaient pas de doute, elle était très excitée. J'ai arrêté. Je me suis accroupi derrière elle, une main sur chaque fesse et j'ai commencé à lui lustrer l'anus à grands coups de langue. Elle gémissait de plus en plus fort.
 
Plus d'une fois je lui avais proposé qu'on se rencontre. Malgré le plaisir évident de se retrouver en virtuel, elle refusait systématiquement le passage au réel. J'avais tenté la gentillesse, le clash, la bouderie mais rien n'y faisait. Finalement c'est le hasard qui a tout débloqué.
 
Ce soir-là, comme souvent dans le métro, je pensais à elle. Je regardais discrètement autour de moi, peut-être était-elle là à quelques mètres. On ne sait jamais, nous habitons la même ville et le monde est petit. En tournant la tête, mon regard s'arrête sur les chevilles d'une femme assise au milieu du wagon. Je ne voyais pas sa tête, mais ce petit tatouage géométrique sur la cheville droite... J'en étais quasiment sûr, c'était elle.

 

Je me suis déplacé sur le côté. J'ai posé ma main sur sa tête.
- Viens me sucer ma salope. Montre-moi tes talents. Regarde-moi en même temps que je vois l'envie dans tes yeux.
Elle ouvre la bouche et enfourne mon sexe déjà bien dur. Elle l'avale puis en fait le tour avec la langue.
- Mais tu es une vraie experte. T'as dû sucer un paquet de mecs pour avoir ce niveau !
Je pose ma main sur sa tête et m'enfonce jusqu'au fond de sa gorge. Ses yeux se révulsent. Je me retire et m'agenouille. Je l'embrasse à pleine bouche avant qu'elle est repris son souffle. Je me redresse et recommence, mais un peu plus longtemps.

Bousculade à la station suivante. Le métro est bondé. Il me semble avoir vu la femme à la cheville tatouée se lever : une jupe noire. Sans réfléchir, je sors. Je suis cette femme sans avoir pu voir son visage. Une fois dans la rue, j'accélère et la rattrape. Cette silhouette, ces cheveux, ce style bourgeois sexy mais pas vulgaire, ça correspond, je suis presque sûr de moi. J'ai lancé un :
- Babeth !
Elle s'est retournée immédiatement. Je l'ai rattrapée et me suis planté face à elle. Elle m'a regardé.
- Bonjour monsieur, quelle surprise !
- J'espère que tu la juge bonne ?
- Oui, évidemment Monsieur.
- On a souvent imaginé notre rencontre en tchat mais jamais comme ça, par hasard. Je t'ai vu dans le métro, je t'ai rattrapée, maintenant je ne te lâche pas ! Dis-je en souriant.
- Monsieur, mon mari et mes enfants m'attendent, je ne peux pas vous suivre.
- Tant pis, c'est moi qui te suis. Je t'accompagne jusque chez toi. Tu n'as pas le choix.
- D'accord Monsieur.

 

En chemin je la sermonne de m'avoir si longtemps refuser une rencontre. Elle se défend tant bien que mal. Je la laisse se perdre dans des excuses bancales. Puis je la coupe.
- Inutile d'en rajouter. Maintenant qu'on s'est rencontrés, je vais enfin savoir ce que tu as dans le ventre.
Le silence s'installa quelques minutes, jusqu'à ce qu'elle s'arrête.
- Voilà, j'habite l'immeuble au bout de cette rue. Mais ma famille m'attend.
- J'ai bien compris, ne te fais pas de soucis pour ça. Il me semble que le métro est tombé en panne tout à l'heure. 30 minutes bloqués dans la rame, sans pouvoir téléphoner pour avertir, c'est long.
- Ça arrive quelques fois.
- Attention ! Top ! Le métro vient de s'arrêter. Ne perdons pas de temps, conduis-nous dans ta cave sans nous faire remarquer. Tu en as une ?
- Oui Monsieur.

Je l'ai remise en position contre la porte. Je me suis placé derrière elle et je l'ai pénétrée d'un coup. Les deux mains sur les épaules, de grands coups de reins dans ses hanches. Elle crie sans retenue. Si quelqu'un passe dans les caves, il ne peut pas nous louper. Sans compter, les claques sur son cul, un bruit franc, claquant et significatif.
- Tu vois que c'est mieux en réel ! Tu préfères te branler devant ton écran ou que je te défonce comme une bonne chienne dans cette cave ?
- Ahh, je préfère que vous me défonciez Monsieur.
- Content de te l'entendre dire. D'ailleurs redis-le, je veux que tu réclames !
- Oui Monsieur, Ahhh, j'aime que vous me preniez comme une salope. Faites-moi jouir !
- Tu dis ça parce que tu veux remonter le plus vite possible là-haut ?
- Non Monsieur, c'est la vérité, j'aime être votre soumise, votre chienne.
Après une dernière claque sur son cul, je l'attrape par les cheveux :
- Viens me sucer, je vais finir dans ta bouche. T'as intérêt à tout avaler si tu ne veux pas en avoir sur tes vêtements.

 

Je prends sa tête à deux mains et je lui baise la bouche. Un peu de bave s'échappe par la commissure de ses lèvres. Elle met ses mains sous son menton pour que ça ne dégouline pas dans son cou. Je me bloque cambré en arrière et j'éjacule en longs jets dans sa bouche. Elle déglutit comme elle peut, en serrant bien les lèvres. Je me retire d'un coup. Je la relève et l'embrasse à pleine bouche.

Nous nous réhabillons très vite. Nous sortons des caves et remontons au rez-de-chaussée. Je la laisse, un baiser dans le cou :
- À très bientôt Babeth. Tu ne peux plus fuir maintenant.
- À bientôt. Je n'en ai pas l'intention !
Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Lundi 22 juillet 1 22 /07 /Juil 00:13

Elle est là, au milieu du salon, nue, à quatre pattes sur le carrelage, les yeux bandés. Des pinces à papier sont
accrochées à ses tétons et lestées par une petite chaîne. Elle attend, elle écoute chaque bruit. Elle a peur de toute évidence.

Il faut dire qu'il y a 20 minutes on ne se connaissait pas. Rencontrée sur un site, le courant est passé. Après quelques semaines, ayant acceptée la rencontre, je lui donnait comme défi de venir chez moi en pleine journée, avec pour seul tenue un imperméable et des talons hauts.

A vrai dire, je m'attendais à ce qu'elle se dégonfle. Mais non ! A l'heure dite, elle sonnait à la porte. Je l'ai faite entrer, lui ai posé un bandeau sur les yeux, enlevé son imperméable. Et maintenant elle est là à quatre pattes dans le salon.

Je me suis déshabillé pour être à l'aise. Je me suis servi un verre, ais rassemblé les accessoires utiles. Elle a écouté tous ces bruits, tous ces mouvements en ce demandant ce qui l'attendait. Elle sait que le jeu va bientôt commencer, elle m'entend tourner autour d'elle, m'arrêter pour admirer sa croupe, son visage, ses seins tendus.

Je prend une chaise, la tire face à elle. Je m'assois au bord, jambes écartées, sexe dressé. Je caresse ses lèvres avec mon gland, elle ouvre la bouche instantanément et cherche à avaler mon sexe. Je pose ma main sur sa tête pour la retenir et lui dis : « Doucement, lèches le bien, prends ton temps, tu l'avaleras bien assez tôt ! ». Elle sort sa langue et commence à me lécher, sur toute la longueur, à jouer avec le gland, à me donner des coups de langues sur les couilles. « C'est bien, tu es une bonne suceuse. Continues ! ».

Un petit coup vient cingler le flanc de son sein droit. Elle ne le voit pas, mais j'ai à la main une longue tige flexible me permettant de jouer avec ses seins pendant qu'elle me suce. La surprise et la douleur lui font arrêter mécaniquement son entreprise de suçage. Je lui reprend la tête à une main et lui fourre ma bite dans la bouche pour lui rappeler sa tâche. Et un deuxième coup tombe sur la pince tenant son téton.

J'ai pris les commandes, ma main lui indique le tempo. Sa bouche va et vient sur mon sexe. Régulièrement une petite giclette tombe sur ses seins, ses tétons, les pinces ou la chaîne les tenant. Puis je l'arrête net, ma bite collée au fond de sa bouche. Elle donne un premier mouvement de tête pour se libérer, un coup un peu plus sec que les autres tombe sur son sein. « Bouges pas ! ». Elle se calme mais je sens sa bave tomber sur mes couilles. Je lui redresse la tête, elle respire bouche grande ouverte pour reprendre de l'air. Je me baisse et l'embrasse à pleine bouche.

Je repousse la chaise derrière moi et me relève. Elle baisse la tête et respire profondément. Mais la pause est de courte durée, la tige s'est abattue sur son cul. Sa tête s'est immédiatement redressée. Je glisse ma main gauche entre ses fesses, doucement lentement vers son sexe. Il est trempé. J'écarte ses lèvres et commence à titiller son clito. De la main droite, j’abats une nouvelle fois la tige sur son cul.

Je la masturbe comme ça pendant de longues minutes. Alternant caresses et coups de tige. Puis je pose la tige et me place à genoux derrière elle. Je lui prend chacune de ses fesses à pleine main et plonge ma langue dans son petit trou. Ma langue remonte en de longs mouvements, de sa chatte vers son anus. Mes mains écartent au maximum son cul, de temps en temps elles le lâche, se lèvent et s'abattent en un coup sec pour mieux le ressaisir. Ma chienne gémit de plus en plus.

Je me redresse et la pénètre d'un coup. Elle pousse un petit cri. Je m'arrête au fond de sa chatte, tend un bras et vient faire bouger ses seins. Puis je me retire doucement et rerentre d'un coup sec le plus loin possible. Je recommence à augmentant lentement la cadence. Elle pousse maintenant de « oh, oui » et son bassin fait ses propres va et vient. Je m'arrête et lui claque une fesse.

Je me retire complètement et me mets debout. « Je vais te prendre le cul, ma belle ! » Je me penche en avant, tend un bras, lui glisse un doigt dans la bouche. De l'autre main je lui pénètre l'anus avec un doigt, puis deux. Je lui branle le cul. Ses dents serrent mon doigt dans sa bouche. Je m'arrête, place mes pieds de chaque côté de son cul. Je me baisse, écarte ses fesses avec mes mains et présente mon gland sur son anus. Je pousse doucement, mes mains la saisissent au bassin pour l’empêcher de descendre. Mon gland pénètre doucement. Je pousse un peu plus fort, ma bite commence à disparaître entre ses fesses, mon pubis fini par les toucher. Je commence doucement à la limer. Elle gémit.

J’accélère enfin, je lâche les chevaux. Je lui pilonne le cul. Nous poussons tous les deux des cris de plaisir. Je finis par jouir dans son cul (avec préservatif !). Je lui détache le bandeau puis m'affale sur le dos à côté d'elle. Elle se baisse et m'embrasse puis se blottît contre moi.

Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 00:09

Résumé : Pour son deuxième jour, j'ai emmené Élise chez elle. Après l'avoir attachée, je l'ai baisée pendant que son mec écoutait et l'invectivait au téléphone. Puis je suis parti, la laissant attachée pour que son homme profite de la vue et de la situation.

Comme tous les soirs, je me connecte au site. Pas de trace de Nico ou d'Élise. Le temps passe quand tout à coup le bip d'une demande de tchat. C'est Nico. « Bonsoir, je suis content de te trouver. Je voulais te remercier.
- Y'a pas de quoi je me suis bien fait plaisir aussi.
- Mais pas seulement pour cette après-midi - c'est vrai que j'ai bandé comme un malade en t'écoutant la prendre au téléphone. Pour la suite.
- Ah ok. Raconte, ça m'intéresse.
- Quand je suis rentré, elle était toujours là, le cul en l'air, la tête enfoncée dans le canapé, les mains attachées derrière ses jambes. Ton sperme avait coulé sur tout son visage. J'ai cru qu'elle allait me demander de la détacher mais au lieu de ça elle m'a dit "Excuses moi, je suis qu'une salope. Je m'aperçois qu'en plus j'adore être soumise, attachée, prise de force, que l'on m'insulte et traite de chienne."
- Ça m'étonne pas. Elle était vraiment dans un état second quand je l'ai laissée. Et qu'est-ce que tu as fait.
- Je bandais comme un fou. Ces paroles ont fait comme un déclic. Je lui ai claqué le cul et je l'ai insulté. Puis je me suis mis à poil et je l'ai sodomisée comme une chienne. Ça faisait un moment que je l'avais pas baisée comme ça.
- Je me suis retenu pour pas lui défoncer sa rondelle. J'espérais que tu le fasses.
- J'ai fini en lui giclant sur le visage. Mon sperme chaud s'est mélangé au tien froid. Puis je l'ai détachée. Je me suis affalé dans le canapé. Elle est partie prendre une douche et nous avons mangé. Puis nous avons fait l'amour comme deux amants. Le panard.
- Excellent ! Une question : tu lui as pas dit que nous dialoguons ensemble ? Elle croit toujours que l'on n'a pas de contact tous les deux ?
- Oui. Je n'ai rien dit. Je te fais confiance pour la suite. Aujourd'hui c'était royal.
- Ok. On continue comme ça. Je ne te dis pas la suite. A+.
- Tchao. »

Le lendemain, quand Élise arrive au travail, elle fait la tournée de bonjour et s'arrête à mon bureau. Elle n'avait aucune consigne et pourtant elle est habillée très sexy. Elle me fait la bise et me murmure « Que dois-je faire aujourd'hui Monsieur ? ». Je la regarde. « On mange ensemble à midi ? ». Elle acquiesse et s'en va toute légère à son poste.

À l'heure du déjeuner, je la retrouve dehors. Je l'invite à marcher pour aller manger. « Raconte-moi ta soirée. Que s'est-il passé quand ton mec est rentré. Je veux tous les détails ! » Elle commence à me raconter ce que je savais déjà. Mais c'est encore plus excitant de l'entendre de la bouche d'une femme. De temps en temps je la reprends pour y ajouter un vocabulaire plus cru. Pendant le repas, je l'oblige à me raconter leurs expériences passées dans le libertinage. Elle me raconte par le menu les fois où elle s'est fait défoncer par des jeunes hommes bien membrés sous les yeux de son mec. En revenant vers le travail, je l'entraine dans un recoin d'immeuble. Ma main relève sa robe et écarte son string. Sa chatte est bien évidemment trempée. « Ça t'excite de raconter tes exploits de chiennasse ! T'as envie que je te prenne là contre ce mur comme une vulgaire traînée !
- Oh oui Monsieur, j'ai envie de votre queue. Prenez- moi s'il vous plaît.
- Mets-toi à genoux que je te baise la bouche. C'est tout ce que tu auras aujourd'hui. »

Elle s'agenouille, m'ouvre le pantalon et sort mon sexe qui sort tel un ressort. Je l'enfourne immédiatement dans sa bouche, la saisie par les cheveux et commence des va-et-vient entre ses lèvres, de plus en plus loin, de plus en plus longtemps au fond. Je finis par lui gicler dans la bouche. Elle avale tout sans en perdre une goutte. Je la relève, elle se recoiffe. « Tiens prend ça. Tu ne l'ouvres surtout pas. Ce soir tu la donnes à ton mec en rentrant. » Je lui tends un petit carton. « Je te laisse finir de te remaquiller, je retourne au taf seul. On se voit demain. »

Le carton contient 3 choses :
- un petit rosebud
- un oeuf type vibrant mais sans télécommande
- un message pour Nico avec comme consigne de ne pas le faire lire à Élise.

Le message :
Nico. Voici la suite du programme. Ne fais pas lire ce message à Élise et ne lui montre pas le contenu du carton avant demain.
Demain matin, je veux que tu mettes ces deux jouets à ta femme avant qu'elle parte au boulot. Le rosebud dans l'anus, l'oeuf dans le vagin.
Habille là sexy avec des talons hauts.
À midi, rentre chez toi. Gare ta voiture loin de l'entrée. Installes toi dans un coin de la chambre et attend !

Comme tous les matins, Élise arrive après moi au travail. Je la guette, la voit arriver de loin. Tenue sexy, talons hauts mais la décharge mal assurée. Quand elle est à deux mètres de mon bureau, j'active le petit bouton de la télécommande que j'ai dans la main. Élise s'arrête net, semblant chercher l'équilibre. Pour ne pas attirer l'attention, elle repart de l'avant mais elle s'appuie immédiatement à mon bureau. Elle se penche pour me faire la bise. « Non, fait le tour que je te vois marcher » lui dis-je tout bas. Elle fait le tour de ma table en s'appuyant au bord avec une main. « Bonjour Élise, j'espère que tu apprécies ta surprise du matin . On mange encore ensemble à midi ?
- Oui, avec plaisir.
- (Plus bas), Essayes de pas trempée ta culotte. Ça pourrait se voir. »

Élise file à son bureau sans demander son reste. Elle ne le quitte pas de la matinée. Je passe 2 / 3 fois pour l'observer : Jambes croisées, tête baissée, elle attend de toute évidence la pause déjeuner. À midi je passe la chercher. Elle attrape son manteau, et l'enfile avant même de faire son premier pas. Dans l'ascenseur nous sommes seuls. J'ouvre son manteau et passe ma main sur ses fesses. Elles sont trempées. « Il va falloir encore un peu tenir ! » Je la dirige vers ma voiture. Je démarre direction chez elle. Elle reconnaît très vite le chemin mais ne pipe pas un mot. J'augmente la vitesse de vibration de l'oeuf. Elle serre les jambes et se mord les lèvres.

Je me gare devant chez elle, l'invite à descendre. Elle ouvre, nous rentrons. Dès la porte fermée, je l'arrête et lui bande les yeux. Je l'emmène dans la chambre. Là, comme prévu, Nico est assis dans un fauteuil, sans bruit. Je la laisse debout au pied du lit. Je m'allonge. « Déshabilles toi et fais- moi bander ! » Elle commence alors à s'effeuiller langoureusement, ne gardant que ses talons. Elle se cambre pour mieux montrer son cul et le "diamant" du rosebud qui orne l'entrée de son anus. Une vraie salope professionnel ! Nico n'en perd pas une miette non plus.

Je me lève et l'invite à se mettre à quatre pattes sur le lit, tête tournée vers son mec qu'elle ne voit pas. Je passe ma main sur son sexe toujours trempé. Je rentre deux doigts qui vont jouer avec l'oeuf. Mon autre main joue avec le rosebud, le fait tourner, entrer, sortir... Élise monte tout de suite dans les tours. Les « Oh oui » s'enchainent de plus en plus fort. J'arrête net et lui claque le cul. « Et tu aimes te faire fesser petite salope ? Tu le mérites petite chienne ! Jouer la soumise, mouiller ta culotte toute la matinée, te laisser mener chez toi. Tu as envie de te faire prendre sur le lit conjugal ! Qu'est-ce qu'il dirait ton mec ?
- Oh oui, je suis une salope. Je mérite t'être punie. Je le fais cocu et j'aime ça.
Une claque tombe.
- Tiens prend ça et comptes tout fort !
Je pousse le bouton de l'oeuf à fond.
- Trois... Quatre... Cinq... Six... Sept...
Son cul est rouge. Les chiffres commencent à sortir plus difficilement de sa bouche.
- Huit... Neuf... Sniff..
Ma main chauffe autant que son cul. Des larmes commencent à couler sur ses joues.
- Dix.

Je lui caresse doucement les fesses pour l'apaiser. Mes doigts retournent jouer avec l'oeuf. Trois, puis quatre. Ma main tourne, mon pouce se fraie un passage. Élise a oublié sa douleur et reprend ses gémissements de plaisir. Dans son fauteuil, Nico a ouvert son pantalon et se branle doucement. Je retire le rosebud de l'anus d'Élise. Je monte sur le lit et me positionne juste au-dessus de son cul. Je pose ma bite sur son petit trou et tire la tête l'Élise par les cheveux pour qu'elle n'esquive pas. « Vas-y, écarte tes fesses et recule, viens t'empaler sur ma bite ! » Elle se redresse, la tête tirée en arrière, ses mains sur chacune de ses fesses, écartant sa rosette. Je pousse tout en tirant ses cheveux. Mon gland pénètre lentement, puis est happé par son cul. Je lui lâche les cheveux et la saisi par les hanches. Je m'enfonce doucement en elle. Je pousse jusqu'à ce que mon ventre écrase ses fesses. « Tu me sens bien là petite chienne ? Tu la sens ma bite dans ton fion ?
- Oh oui. Je la sens. Elle est grosse. Elle me défonce ! »

À ce moment-là, j'enlève son bandeau des yeux. Je l'attrape par les bras tirés en arrière et commence à lui pilonner doucement mais amplement le cul. Ses yeux se réhabituent rapidement à la lumière et elle découvre en face d'elle son mec en train de se branler. Elle en reste bouche bée. De simples "Humpf" cadencés par mes mouvements sortent de sa bouche.

« Il te défonce le cul ma chienne ! Tu aimes ça visiblement ! Tu es belle comme ça, prise bestialement ! » Nico se lève et vient embrasser à pleine bouche sa femme. Je lui relâche les bras. Il enfonce alors sa bite dans la bouche de sa femme qui le suce au rythme de mes coups de reins de plus en plus rapide dans son cul. Après quelques minutes, je me retire et lui éjacule entre les fesses. Lui attrape la tête de sa femme et lui éjacule dans la bouche en râlant.

Par domfel69 - Publié dans : Couple candauliste soumis - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 8 mai 3 08 /05 /Mai 00:44

Résumé du 1er épisode "Élise - le piège" : Je découvre qu'Élise, une collègue, a une fiche couple sur un site libertin et que son homme est candauliste. Je la piège, avec le semi-consentement de son mec."

Élise passe le reste de sa journée à soigneusement m'esquiver. Je la laisse faire mais le soir, avant de partir, je passe à son bureau. « Bonsoir Élise, passe une bonne soirée. Et demain, habilles-toi sexy, j'adore ça. Tiens, je te rends ton string, mais pas la peine d'en remettre un demain. »

Le soir, après avoir allumé l'ordinateur, je me connecte au site. Comme je m'y attendais, Nico est présent. Je le contacte par tchat. « Salut Nico, bonne journée ?
- Salut. Je t'attendais. Quelles sont les nouvelles ? Élise n'a pas pipé mot de la soirée, on dirait qu'elle me fait la gueule.
- C'est une petite cachottière, ça veut peut-être dire qu'elle a aimé...
- Aimé quoi ?
- Tiens regarde (je lui envoie la photo prise le matin, où Élise me suce).
- Oh putain, la salope. Tu l'as baisée ?
- Non, je lui ai juste fait comprendre qui dirige. Mais félicitations, c'est une sacrée suceuse !
- STP, raconte !
- OK, mais c'est uniquement parce que je veux que tu lui caches encore un peu que tu sais qui je suis. »

Et je lui raconte en détail comment j'ai baisé la bouche de sa femme après l'avoir doigtée, mais en la frustrant d'un orgasme. Il est très excité. Avant de le laisser je lui donne quelques consignes :
- essayer d'assister à l'habillage d'Élise demain matin puis de m'envoyer par mail la description de sa tenue.
- surtout de ne pas s'éloigner de son portable demain.
- ne rien dire à Élise avant que je l'en autorise.

Le lendemain, j'arrive au taf avant Élise. Quelques minutes plus tard, mail de Nico : "Elle est en jean/t-shirt, classique, mais visiblement ça la faisait chier que je sois à côté d'elle pendant qu'elle s'habillait. Nico". Exactement ce que j'espérais. Maintenant restait à savoir si elle s'était changé sur le chemin ou si elle oserait venir en jean / t-shirt ou si au moins elle aurait enlevé le string.

L'heure habituelle d'arrivée d'Élise arrive, puis passe, 5, puis 10 minutes. C'est avec un quart d'heure de retard qu'Élise arrive au travail. Pour éviter de se faire remarquer elle se dirige tout droit à son bureau et évite la tournée de bonjours. Mais même de loin, je m’aperçois parfaitement qu'elle n'est pas en jean / t-shirt. Elle a donc feinté son homme pour respecter les consignes sans avoir à lui expliquer. Une petite déception m'envahit, j'aurais aimé avoir un prétexte pour la punir. Mais qu'elle cache nos rapports à son mec me laisse la possibilité de lui préparer de belles surprises.

Je lui envoie un message sans attendre. "Ajoute un rendez-vous client dans ton agenda à 16 heures. Passe voir mon chef et dis-lui que tu as besoin de moi pour ce rendez-vous pour une expertise. À toute". Dix minutes plus, j'entends des talons approcher. C'est Élise : Talons aiguilles, jupe droite légèrement fendue, chemisier blanc limite transparent. Une vrai Working Girl sexy. Elle s'arrête au bureau de mon boss, passe sa tête par l'encablure de la porte et discute 2 / 3 minutes avec lui. Puis ils sortent tous les deux et viennent vers moi. Mon chef m'annonce alors : « Élise doit rencontrer un prospect cette après-midi et elle a besoin de ton expertise pour blinder le rencart. Tu peux l'accompagner ?
- Sans problème. Je n'ai rien contre sortir de ces bureaux de temps à autre. Élise, je passe te voir dans 5 minutes histoire que tu me fasses un petit brief que je chasse quoi réviser.
- OK je t'attends. À toute suite. Et merci ! »

Je débranche mon portable et je me dirige vers le bureau d'Élise. Je pose le PC sur ce bureau, attrape une chaise et m'assois juste à côté d'elle. J'ouvre le portable, me connecte à la messagerie interne et commence à écrire un message instantané à Élise. "Connecte-toi au site et montre-moi les photos de tes albums privés !". À côté, Élise lit puis me regarde. Elle tape l'adresse du site dans le navigateur, se connecte et ouvre ses albums. À quelques mètres de nous passe des collègues. Les photos de la miss s'affichent en grand sur son écran. À quatre pattes le cul offert, un membre dans la bouche, un god dans la chatte... "Félicitations pour la tenue, tu es très sexy. Laisse-moi deviner, tu as mis des bas...". Et en même temps que j'envoie ce nouveau message, je pose discrètement une main entre les cuisses d'Élise. Elle me répond "Oui, avec porte-jarretelles et pas de culotte". "Remonte ta jupe !". Élise soulève légèrement ses fesses de sa chaise et tire doucement sur le haut de sa jupe, découvrant le haut de ses bas, les jarretelles puis son sexe lisse. "Écartent les cuisses !". Ses jambes se desserrent doucement, ma main remonte doucement jusqu'à toucher son sexe. Elle sursaute. Mon majeur force doucement ses grandes lèvres et découvre un minou tout mouillé. Toujours par messagerie : "Tu aimes ce jeu petite salope ! Tu l'as dit à ton homme ?
- Non.
- Pourtant il aime ça te voir prise devant lui. Te voir prendre du plaisir dans les positions les plus hards.
- Justement, comme là il me voit pas, je ne veux pas le frustrer.
- C'est mignon.Je passe te prendre cette après-midi vers 16 h."
Je referme mon portable, échange 2 / 3 mots boulots avec Élise histoire de donner le change. Puis je la laisse, pendant qu'elle se rhabille.

À 16h je passe à son bureau. Elle est prête. Nous prenons l'ascenseur en compagnie de deux collègues. Une fois sortis, je lui dis « C'est moi qui t'emmène » et je l'invite à monter dans ma voiture. Je démarre et m'éloigne rapidement. « Maintenant indique-moi comment aller chez toi.
- Mais c'est déjà 16 h, Nico arrive à 19 h.
- Quand j'aurais besoin de ton avis je te le demanderais. Alors tu m'indiques la route et tu remontes ta jupe sur ton ventre, tu écartes bien les cuisses, tu ouvres ton chemisier, tu enlèves ton soutif.
- Prends le périph et tu sors à la 5. »
Et en même temps qu'elle prononce ces paroles, elle commence à remonter sa jupe. Elle écarte les jambes, son genou vient toucher ma main sur le levier de vitesses. Elle glisse dans le creux de sa cuisse et se pose délicatement sur son sexe et commence à titiller son clito. Dans un mouvement que les femmes maîtrisent, elle ouvre son chemisier et enlève son soutien-gorge sans se dénuder totalement. Nous roulons à vitesse moyenne. Sur le périph, quelques camions klaxonnent quand on les double. Aux feux, un cycliste tape même à la vitre.

Je me gare devant chez elle. Je l'autorise à se rhabiller avant de descendre. Elle ouvre la porte. Nous rentrons. Elle referme. Je la plaque face à la porte. Je dézippe sa jupe qui glisse à ses pieds. D'un coup sec je lui ouvre son chemisier, les boutons volent. Mes deux mains pétrissent ses seins. Je l'embrasse dans le cou. Puis mes mains glissent entre ses jambes et commencent à la masturber. Elles passent d'un sein à son sexe alternativement, sans lui laisser de répit. Élise respire fort, son sexe est trempé.

Quand elle est bien excitée, je la lâche et me recule. « Prends ton sac et emmène-moi au salon. » Elle ramasse son sac, je prends le mien et la suis. « Mets toi à genoux sur le canapé, tu te penches en avant, ta joue contre le tissu, et tu mets tes bras en arrière, tes mains se joignent sous tes fesses. » Elle obéit. Je l'aide à se placer correctement puis, une fois en position, je lui attache les mains. J'ouvre son sac et sors son téléphone portable et son oreillette bluetooth. Son visage se ferme, elle ne comprend pas où je veux en venir. Je lui place l'oreillette dans l'oreille. « Tu vas me donner le téléphone de ton mec. Tu vas lui expliquer qu'il y a un mec au boulot qui te fait chanter à cause d'une photo. Qu'il fait de toi sa soumise et que tu aimes ça.
- C'est dégueulasse de faire ça !
- Tu préfères prendre ton pied toute seule, comme une vraie pute ? Tu sais qu'il adore te voir prise comme une chienne. Donne moi son numéro ! »

Elle me dicte le numéro. J'appelle. Il décroche dès la première sonnerie. « Allo, Nico, c'est moi.
- Qu'est-ce qui se passe. Pourquoi tu m'appelles à cette heure ?
- J'ai un truc à te dire...
Pendant ce temps je commence à caresser le cul bien exposé d'Élise. Je passe sur sa chatte, son petit trou. Je lui caresse les cuisses.
- C'est grave ?
- Oui et non. Je sais pas comment, mais y'a un mec au boulot qui a récupéré une photo de moi en train de sucer une bite. Et depuis il veut... (hésitations et respiration accélérée)
- Il veut quoi ? Élise ?
Je donne une petite claque sur son cul.
- (un petit hum lui échappe)... Il veut m'obliger à avoir du sexe avec lui.
- Tu as accepté ?
- Non, enfin... je n'ai pas vraiment le choix...
- Il t'a baisée ?
Je commence à lui lécher l'anus tout en la masturbant. Son souffle est de plus en plus court, elle retient quelques gémissements.
- Non.
- Qu'est-ce qu'il t'a fait alors ?
- Il me traite comme...
J'accélère la cadence. Ma langue remonte de son clito à son petit trou. Elle se tord.
- Comme quoi ? Élise, vas-y parle ! Qu'est-ce qui se passe ?
- Comme sa soumise. (Hummm)
Elle n'a pas pu retenir ce gémissement. Il ne peut pas ne pas l'avoir entendu.
- Élise, tu es seule ?
- Non chéri... (Hummm) Il est en train de me bouffer le cul... et j'aime ça.

Silence au bout du fil. Élise profite de cette pause pour monter dans les décibels. Je me relève et me déshabille. Je prends l'oreillette : « Allo, Nico c'est ça ?
- Oui, c'est ça
- Je sais que tu aimes voir ta petite chienne se faire prendre devant toi. Désolé là je n'ai pas eu le temps de t'envoyer une invitation mais comme j'aime bien partager moi aussi, j'ai pensé que ça te ferait tout de même plaisir de l'entendre se faire prendre ?
- (silence)
Je m'agenouille devant Élise et lui fourre mon sexe dans la bouche. Son visage est collé au canapé, elle ne peut pas vraiment bouger la tête.
- Tiens là je vais lui baisser la bouche. Ça t'exciterait d'entendre ce que ça donne ?
- (hésitations) Oui, fait moi écouter !
Je remets l'oreillette sur l'oreille d'Élise et commence des va-et-vient pour accentuer les bruits, je sors ma bite de sa bouche et la fais re-rentrer dans un bruit de succion. Puis je m'enfonce le plus loin possible et reste 2/3 secondes au fond de sa gorge. Puis je me retire, elle respire à fond, aspirant le maximum d'air. Je reprends l'oreillette.
- Tu aimes ?
- Elle prend cher à ce que j'entends. J'avoue que c'est assez excitant de l'imaginer se faire baisser la bouche.
- Pour aider ton imagination, elle a le visage collé au canapé, le cul en l'air, les mains attachées derrière les jambes. Je vais lui remettre l'oreillette et je vais la sauter en levrette. N'hésites pas à l'encourager, je suis sûr qu'elle appréciera.
Je recolle l'oreillette à Élise. Je me mets debout sur le canapé, une jambe de chaque côté de son cul. Je me baisse et la pénètre d'un coup sec.
- Ahhhahh
- (en parlant fort) Ça y est Nico, je la baisse. Sa chatte est trempée.
- Ahhahh
- Tu aimes ça ma chéri, tu aimes te faire prendre par ton collègue.
- Oui, j'aime ça. C'est bon.
J’amplifie mes mouvements et les accompagne par des claques bruyantes sur ses fesses.
- Tu aimes qu'on te claque le cul comme ça ma salope ?
- Oh oui, c'est bon.
- Vas-y lâches-toi ma belle !
- Oh oui, oh oui, oh oui...
Je lui attrape les fesses à pleines mains et accélère. Mon bassin claque son cul à chaque aller-retour, dans un bruit significatif.
- Il te défonce bien, ma salope ! Je l'entends !
- Oh oui ! je jouiiiis !
Brusquement je m'arrête et je reprends l'oreillette. Je lui éjacule sur le visage.

« Allo Nico ?
- Oui. Vous avez fini ?
- Oui, c'est un sacré bon coup ta salope !
- Oui, elle a l'habitude d'accueillir les bites...
- Je vais te laisser. Un conseil, tarde pas trop à rentrer. À une prochaine. »
Et je raccroche.

Je me rhabille. Puis je prends une photo d'Élise qui n'a pas changé de position, perdu dans ses pensées. Le flash la fait sursautée. « Je te laisse comme ça. Comme ça ton mec pourra voir ce qu'il a entendu. Peut-être même que cela lui donnera l'envie d'en profiter aussi. Je compte sur toi pour me raconter demain ! A plus ! »

Par domfel69 - Publié dans : Couple candauliste soumis - Communauté : Récits Erotiques X
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