Jeudi 2 mai 4 02 /05 /Mai 23:50

« Élise, je peux te déranger quelques secondes, j'ai un document à te montrer »

Élise sursaute. Elle était absorbée par son écran. Elle n'a d'ailleurs pas été assez rapide pour fermer ce qu'elle regardait, j'ai le temps de reconnaitre un site libertin que je fréquente et même de lire son pseudo. Pas de chance Élise, avec n'importe quel autre collègue cela serait passer. Je ne lui fais rien remarquer sur le coup, faisant celui qui n'a rien vu. Une fois revenu à mon bureau, les idées fusent et très vite j'imagine comment tourner ça à mon avantage.

Élise a la trentaine passée et est chargée d'affaires dans la même boite que moi. Mariée, un enfant, c'est une très jolie fille mais pas franchement populaire. Un peu d'incompétence, de la faiblesse mal placée et des conversations rasoirs, un mauvais cocktail. Le genre de fille qu'on fantasme en soumise. Qu'elle fréquente un site libertin est un bel atout. Mais il manque quelques cartes avant de tenter un tapis.

Le soir, je me connecte au site en question. Je retrouve rapidement la fiche correspondant au pseudo aperçu. Surprise, une fiche couple ! Pas de photo publique, une description minimaliste et une recherche exhibition, échanges de photos, candaulisme, échangismes. Je flaire la bonne pioche. Je me déconnecte et commence à me créer une fiche couple : quelques photos empruntées à droite à gauche, une description simple et banale et surtout une recherche collant la leur fiche. Je leur écris ensuite un message, le plus convainquant possible. Le plus dur commence alors, attendre qu'ils se connectent.

Ça y est. J'attends encore. Mon message passe en statut "Lu". Encore un peu et je reçois une réponse. C'est Monsieur qui répond, visiblement très intéressé. Je le contacte aussitôt par tchat. Il est seul au clavier. Après les présentations d'usages, j'oriente très vite la discussion sur Madame. Nico, c'est son prénom, est alors intarissable. Je comprends qu'il aime exhiber sa femme et qu'il adore la voir prendre du plaisir devant lui. Je flatte se penchant et le convaincs de me montrer des photos.

C'est très excitant de découvrir la facette cachée de quelqu'un que l'on connaît, surtout quand cette face cachée est si sexy. Nico me montre un diaporama complet d'Élise en tenues légères, dans différentes positions, seule et accompagnée. Sur chacune son visage est flouté, il m'en faut plus. Je lui fais des compliments sur sa femme, n'hésitant pas à donner dans le graveleux ce qui visiblement l'excite encore plus. Je lui montre quelques photos de ma soi-disant femme mais je reviens très vite sur la sienne. Le sentant en confiance, je lui propose une rencontre. Nous débattons alors modalités. J'abonde dans le sens de ses contraintes et demandes et nous finissons par fixer un rendez-vous. Juste avant de le lâcher, je tente le coup de bluff : sous prétexte que j'aime fantasmer en attendant les rencontres sur ma future partenaire, je lui demande s'il a des photos de Madame non floutées. Il hésite quelques secondes. Il finit par m'envoyer une photo d'Élise, une bite à la bouche, les yeux fixant l'objectif. BINGO !

« Nico, je connais ta femme. Elle s'appelle Élise et bosse avec moi ! »

Silence radio. Voyant qu'il ne réagit pas, je reprends :
« Mais ça ne change rien. Je suis toujours intéressé. Cela risque juste d'être un peu différent.
- C'est-à-dire ?
- Écoutes, je ne vais pas y aller par 4 chemins. Certaines personnes seraient très étonnées de découvrir la photo que tu viens de m'envoyer. Y'a pas de raison que ça arrive, d'autant que ce que tu aimes c'est la voir se faire prendre, et que sur ce point on est en phase. Il va juste y avoir quelques règles en plus. Mais je ne vais pas t'embêter avec ça maintenant. Je te demande juste de ne pas lui en parler. OK ?
- Je n'ai pas vraiment le choix...
- Prends le pas comme ça. C'est toujours le même trip, mais avec encore plus de piment.
- OK. J'attends de tes nouvelles alors.
- Tu en auras rapidement ! »

Le lendemain au travail. 9h30, j'attends qu'Élise soit seule à son bureau, je copie la photo dans un répertoire du serveur et je lui envoie un message instantané : « Ouvres vite ce document (lien), détruis le et rejoins-moi en bas pour une pause clope ! ». J'attends que le fichier se supprime sous mes yeux et je descends.

J'ai à peine le temps d'allumer ma cigarette qu'Élise arrive visiblement très énervée.
« T'es malade de balancer ça sur le serveur de la boîte ! T'imagines si les boss tombent dessus, où même un autre collègue, je suis grillée. J'aurais du mal à trouver un autre job. C'est ce que tu veux . Et puis d'où tu sors cette photo . Et... ». Je l'arrête net et l'attrape par le haut du bras, je la force à me suivre dans l'entrée des garages. Je la plaque face contre mur, bras tordu dans le dos. J'approche ma bouche de son oreille : « Écoutes moi bien Élise. T'as compris qu'à moitié visiblement, ce n'est pas une erreur si j'ai mis cette photo sur le serveur. Cette photo n'est qu'un petit aperçu, je sais pas mal de chose sur toi : que tu te fais prendre par des hommes, devant ton mec, que tu prends ton pied comme une salope. La seule différence entre toi et une pute c'est que tu fais pas payer. »

Je la tire en arrière et la force à avancer devant moi. Je la dirige vers l'escalier d'accès aux parkings souterrains. L'endroit est désert et très rarement emprunté. Je m'arrête devant la porte et la pousse devant moi. « Relèves ta robe et donnes moi ta culotte. » Elle hésite... Elle commence à remonter sa robe puis à enlever son string qu'elle me tend. Je le prends et le mets dans ma poche. Je m'approche d'elle, le plus près possible. Je lui bloque une main dans le dos, de l'autre je soulève sa robe et plaque ma main contre sa chatte. Avec le pied, je lui écarte les jambes. Mes doigts sentent s'entrouvrir ses lèvres déjà humides. Je la retourne, lui plaque les mains contre la porte, légèrement penchée en avant. Une main sur son clito par-devant, une autre sur sa chatte par-derrière, je commence à la masturber. Elle est maintenant totalement excitée, sa croupe ondule. Je rentre un doigt, puis deux, puis trois. Elle gémit des « oh oui, c'est bon »...

Je m'arrête juste avant qu'elle jouisse et lui donne une énorme claque sur les fesses. Elle pousse un cri. Je l'attrape par les cheveux et la force à s'agenouiller devant moi. « Avale ça qu'on ne t'entende pas ». Et je lui fourre ma bite au fond de la gorge. « Garde les mains dans le dos ». Je commence alors de lents mais très amples va-et-vients, ressortant à chaque fois de sa bouche. Un filet de bave pend de sa lèvre inférieure à mon gland. Je lui soulève le menton pour qu'elle me regarde. « Maintenant, tu fais la même chose toute seule et je veux voir tes yeux. »

Elle commence de lents mouvements de tête en s'appliquant. Mes yeux sont fixés dans les siens. « Accélères doucement ! ». Le rythme augmente, le plaisir aussi. « Avales moi jusqu'aux couilles et n'oublie de me regarder ». La bouche d'Élise avance doucement le long de ma bite. Plus elle avance, plus ses yeux partent. Elle reste ainsi quelques secondes puis relâche mon sexe en inspirant un grand coup. « Recommences et respires par le nez ». Ma bite bien au chaud dans sa bouche, je sens la jouiance approcher. Avant d'exploser je sors mon téléphone et la prends en photo. Elle recule et me balance un « salaud !.
- Fermes là, je te l'enverrais ! Je vais jouir, je te conseille plutôt de tout avaler si tu veux pas avoir à justifier de taches sur ton chemisier tout le reste de la journée... ».
Son regard me jette des éclairs. Elle ouvre la bouche et commence à me branler. « Ranges tes mains, tu vas me finir à la bouche ! » Je resaisis sa tête et lui baise littéralement la bouche. Je finis par gicler dans un grand râle. Elle avale tout avec un mouvement de haut-le-coeur.

Je me reboutonne et la relève. Son regard me fusille encore. Je lui claque un smack. « Je remonte. Rhabilles toi avant de retourner bosser. Je garde ton string, comme ça tu penseras à moi jusqu'à ce soir. »

Par domfel69 - Publié dans : Couple candauliste soumis - Communauté : Récits Erotiques X
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Jeudi 10 janvier 4 10 /01 /Jan 23:12

Suite de "Offerte par son mari, soirée soumission surpris"

 

Vendredi matin, mon téléphone sonne. C'est Olivier : « Salut, j'ai quelque chose à te proposer. Tu es libre cette après-midi .
- Ça dépend pourquoi (rire).
- Je t'explique. Avec Agnès, on a pris une demi-journée de RTT pour ce faire une après-midi coquine. Mais on vient de me coller une réunion ultra importante et je vais devoir annuler. Autant que quelqu'un en profite, Agnès étant de toute façon à la maison.
- Waouh sympa. Notre soirée de l'autre soir, vous a visiblement plu. Agnès est d'accord .
- Je ne lui ai pas dit encore. Mais effectivement elle a beaucoup apprécié son expérience de soumise. Mon avis qu'elle ne dira pas non, d'autant que je vous rejoindrais en fin de journée.
- Oui mais moi je pourrais pas rester ce soir.
- Tant pis, je ferais la relève alors. Je l'appelle .
- Attends, ton idée de relève me donne une idée. Ne l'appelles pas. Ou mieux appelles là mais dis-lui que tu auras un peu de retard. Que tu arriveras vers 15h et qu'elle se tienne prête en t'attendant : tenue sexy, etc.
- Toi tu as une idée derrière la tête. Je peux la connaître .
- Ce sera une surprise pour toi aussi quand tu rentreras. Mais fais-moi confiance, tu regretteras pas !
- Ok, je l'appelle alors pour l'avertir de mon faux retard. À plus, on se rappelle plus tard pour en discuter.
- Sans problème. A
- Et amusés toi bien !
- Ne t'en fais pas pour ça ! »
Vers 15 h, je suis devant chez Agnès et Olivier. Je frappe à la porte. J'entends alors Agnès arrivée en disant : « Tu as encore oublié tes clés ! » La porte s'ouvre sur une Agnès tout sourire, en talons, bas, guêpière et string. En me voyant elle ne peut esquiver un mouvement de pudeur, ses deux petites mains cherchant à cacher l'étendue de son indécence. « Bonjour Agnès, Olivier m'a appellé. Il aura encore un peu de retard. Il m'a gentiment proposé de venir m'occuper de toi pour te faire patienter. Tu es d'accord .
- Bonjour... Monsieur. Excusez ma surprise. Oui je suis d'accord, j'aime quand vous occupez de moi.
- Bien. Je vois que tu maîtrises parfaitement et apprécies ton nouveau rôle. »

Je rentre dans la maison et referme la porte derrière moi. Je m'approche d'Agnès, la prend par la taille et l'embrasse gentiment sur la bouche. Puis je l'entraine à me suivre dans le salon. « Mets toi à quatre pattes sur la table basse du salon ! » Agnès pose ses genoux sur la table et se penche en avant. Je la caresse doucement pour la faire frissonner. Je lui relève son menton, caresse sa bouche. Mon doigt écarte ses lèvres. Instinctivement elle me lèche avec sa langue. Je lui donne à sucer entièrement puis le retire et l'embrasse à pleine bouche.

 

Je me relève et me dirige vers son cul. Je pose mes deux mains sur chacune de ses fesses et les palpe sensuellement. Puis une petite claque tombe sur l'une de ses fesses. Ma main descend doucement dans son entre-jambes. D'un doigt j'écarte son string et entrouvre ses lèvres. Elle mouille déjà abondamment. Une autre claque tombe. J'attrape dans un sac un vibromasseur. Je l'allume, vitesse maximum. Puis je le glisse entre ses jambes, remonte doucement vers son clito, le frotte à sa chatte. Agnès se tortille de désir. Je le frotte encore un peu plus fort et le place bien sur son clito. Une autre claque tombe. J'écarte à nouveau son string et pénètre le vibro dans sa chatte doucement mais jusqu'au bout. Puis je replace son string te manière à maintenir le vibro en place.
J'attrape maintenant des boules de geisha d'une bonne taille. Je les pose sur son cul et les laisse rouler une à une entre sa raie et venir taper sur le vibro. Je les enduis de gel et en mets aussi une bonne giclée sur son anus. Je présente la première boule devant son petit trou. Je commence à appuyer. Agnès fait un mouvement en avant pour esquiver. Une claque tombe sur ses fesses. « Ne bouges pas elles vont rentrer ! » J'enlève la boule et commence à lécher le cul d'Agnès tout en lui malaxant les fesses. Un doigt entre sans difficulté dans son anus lubrifié. Je lui branle doucement le cul. Puis j'ajoute un autre doigt, puis un autre. Son petit trou se dilate petit à petit.

 

« Redresses toi et écartes tes fesses ! » Agnès relève le buste et écarte ses fesses de ses deux mains. Je représente la boule. Cette fois-ci elle glisse plus facilement. Je pousse un peu. La voilà à moitié rentrée. Une dernière petite pichenette et magie, elle disparaît totalement dans les fondements d'Agnès qui ne retient pas un gémissement. Je reprends le même processus pour la deuxième et la troisième boule. Les boules s'entrechoquent entre elle et le vibro leur transmet ses vibrations. Agnès gémit sans discontinué.

Après une dernière claque sur les fesses, j'ordonne à Agnès de se remettre à quatre pattes. Je me place devant sa tête, baisse mon jean et lui présente mon sexe déjà dur. « Maintenant tu vas me suces mais surtout ne baisses pas les yeux. Regardes moi ! » J'attrape sa nuque et plonge ma bite au fond de sa bouche. Je la laisse me sucer à son rythme et plonge mon regard dans ses yeux pour bien qu'elle ressente cette position de soumise. Puis je plaque sa tête sur ma bite pour qu'elle la garde le plus profond dans sa bouche et je lui pince le nez. Agnès cherche à dégager sa tête, mais je la maintiens. « Ne bouges pas ! » De la bave coule à la commissure de ses lèvres. Je me retire d'un coup, tire sa tête en arrière et la force à me regarder. Elle bave de partout, je sens qu'elle a honte et pourtant elle est belle ! Je lui remets ma bite dans la bouche et la laisse à nouveau me sucer à son rythme tout en me regardant.

 

Je l'arrête avant de jouir. « Maintenant, allonges toi sur le dos, tête dans le vide ! » Agnès se troune, pose doucement ses fesses, remplies par les boules de geicha, sur la table puis s'allonge. « Lèves les jambes et les bras ! » Elle obéit. J'attrape ses poignés et les attaches ensemble avec des menottes, en passant derrière ses jambes. Elle est bloquée les quatre fers en l'air, sa tête tombant en arrière dans le vide.

Je m'accroupi et commence à lui baiser la bouche. En tendant le bras, je tapote sur le vibro toujours fiché dans sa chatte. J'accélère le rythme. Juste avant de jouir, je me retire pour mieux lui innonder le visage avec mon sperme.

Je l'embrasse une dernière fois puis je la tire par derrière pour lui remettre la tête sur la table. Je me rhabille. Je sors une feuille et un stylo, écris quelques phrases et poses la feuille sur le canapé.

 

Puis je dis en revoir à Agnès qui évidement proteste. Je referme soigneusement la porte derrière moi.

 

Sur le papier est écrit : "Salut Olivier, Agnès a parfaitement rempli son rôle de vide couille. Elle n'a pas encore été pénétré aujourd'hui, je te laisse le soin de la faire, elle est déjà en position pour. Par contre je ne te garanti pas qu'elle n'ai pas joui plusieurs fois d'ici là avec ce qu'elle a dans les orifices. Amuses toi bien et à très vite ! "


Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 23:38

Un soir, en rentrant du travail, Olivier annonce à Agnès « Vendredi j'ai un collègue à manger. Pas de soucis ?
- Non, on n'avait rien de prévu.
- Parfait. On fera un petit repas sans chichi. »

Arrive le vendredi. 19h, je sonne à la porte. Olivier ouvre « Salut entre ! Je te présente Agnès, ma femme ». Agnès me tend la main, je la lui prends et l'attire à moi pour lui faire la bise. « Enchanté de te rencontrer. Tu es ravissante, Olivier m'avait pas menti. » Agnès rougie légèrement en murmurant un merci.

Nous commençons l'apéro. On ouvre la bouteille de champagne que j'ai apporté. La discussion va bon train. Je suis assis à côté d'Agnès et je m'assure qu'elle n'a jamais son verre vide. Je profite de chaque occasion pour la frôler, voir la toucher. D'abord, la main sur l'épaule après une remarque drôle, puis sur la main, puis je me rapproche au point que mes genoux frôlent les siens. Je sens qu'Agnès commence à me trouver entreprenant, surtout devant son mari. Mais Olivier ne réagit pas, au contraire, il n'hésite pas à nous laisser seuls quelques instants pour aller chercher je ne sais quoi dans la cuisine.

Pendant son absence, je me penche vers Agnès, pose ma main sur sa cuisse et lui susurre : « Tu me plaîs beaucoup Agnès, j'ai très envie de toi...
- Eh ! Doucement ! Olivier peut revenir d'un instant à l'autre !
- Et alors, ça ne me dérange pas.
- Quoi ? Qu'est-ce que ça veut dire ? »

À ce moment, Olivier re-rentre dans la pièce. J'enlève ma main et me tourne vers Olivier « Olivier, ta femme est vraiment superbe. Accepterais-tu de la partager avec moi ce soir ?
- Oui bien sûr, avec plaisir si elle est d'accord
- Tu m'as bien dit qu'elle aimait être soumise ?
- Oui, de temps en temps on fait quelques jeux SM soft mais je sais qu'elle fantasme d'aller plus loin. »

Agnès est bouche bée. Le dialogue a été très rapide : ma demande sans gêne, la réponse d'Olivier et pour parachever le tout son fantasme de soumission. Olivier et moi la regardons en sirotant nos coupes, attendant sa première réaction. Elle a honte de voir son fantasme ainsi dévoilé devant un inconnu. Mais en même temps une excitation commence à monter entre ses jambes. Elle reprend ses esprits « Vous aviez tout prévu, c'est ça ?
- C'est possible... répond Olivier. Mais il n'y a rien d'obligatoire. Tu es parfaitement libre de refuser ma chérie.
- Nous allons griller une cigarette dehors. On te laisse réfléchir. »

Nous sortons sur la terrasse. Agnès reste assise dans le canapé, les yeux dans le vide. Tout tourne dans sa tête. Olivier l'a trahi en l'offrant à un autre sans la prévenir et en révélant son fantasme. Mais au fond, n'est-ce pas ce dont elle rêvait ? L'occasion ne se présentera peut-être pas 2 fois...

À notre retour dans le salon, je prends l'initiative « Alors, Agnès, tu as décidé ? Si tu refuses, tu as juste à dire non. Je vous saluerais et vous laisserais finir la soirée tranquillement, sans rancune. Mais si tu acceptes, je veux entendre un "oui Monsieur, je veux être votre soumise et je vous obéirais quel que soit votre ordre", et il sera alors trop tard pour faire machine arrière. Alors ?
- ...
- Chérie, ne fait pas attendre Monsieur !
- ... Oui Monsieur, je veux être votre soumise et je vous obéirais quel que soit votre ordre.
- Debout ! On va commencer par te trouver une tenue plus adéquate pour ton rôle ! »

Agnès se lève. Je la prends par le bras et lui fait signe de suivre Olivier qui va en direction de la chambre. Olivier s'assoit sur le lit, je l'imite. « Maintenant, déshabilles toi ! ». Agnès commence à enlever ses vêtements un à un, ses chaussures, ses chaussettes, son pull, son tee-shirt, son jean. Puis elle marque un temps d'arrêt. « Ne t'arrêtes pas. Il reste l'essentiel ! » Elle reprend son effeuillage, son soutien-gorge et pour finir sa culotte. « Très très belle ! Tournes pour que je t'admire ! ». Elle tourne sur elle-même deux / trois fois. « Olivier, toi qui connaîs bien sa garde-robe, qu'est-ce qui pourrait faire l'affaire ?
- Laisse-moi réfléchir. Elle a beaucoup de choix en lingerie, on est assez fan. Elle a un très joli collant intégral en résille ouvert à l'entre-jambe, des nuisettes transparentes, un ensemble string soutien-gorge ouvert à l'entre jambe et aux tétons, des porte-jarretelles, des bas de toutes les couleurs, une guêpière.
- J'adore les collants intégraux. Banco. et ajoutes les talons les plus hauts que tu aies. »

Agnès commence à chercher dans ses tiroirs. « Olivier, j'imagine que vous avez quelques jouets en réserve ?
- Oui oui, on a une bonne panoplie.
- Fais-moi voir ça que l'on complète la tenue de madame. »

Olivier ouvre un tiroir rempli d'accessoires en tous genres. Je fouille un peu, je sors un joli petit plug anal / bijou, 4 bracelets en cuir avec mousqueton, une petite chaîne de 50 cm et un bâillon boule. Agnès est maintenant rhabillée, elle se tient debout dans son collant intégral, perchée sur ses talons, la tête baissée.

« Mets-toi à quatre pattes sur le lit ! ». Agnès obéi et doucement monte sur le lit à quatre pattes et nous présente son cul. Je commence par attacher les bracelets à ses chevilles et ses poignets. Je fixe les extrémités de la chaînette à chaque mousqueton des bracelets de ses chevilles. Je fais glisser lentement le plug le long de ses jambes, remonte vers son cul, titille légèrement son anus. Puis je redescends vers son ventre, ses seins, son cou.

Je présente le plug devant sa bouche : « Suces le bien ! ». Elle entrouvre ses lèvres et aspire doucement le plug et fait tourner sa langue autour. Je retire le bijou anal et commence à l'appuyer sur son petit trou. Par petite poussée j'entrouvre son cul, je crache dessus pour rajouter de la salive, l'étale avec le plug puis appuie plus fort le faire rentrer. Il entre sans grandes difficultés, le simili diamant fermant superbement l'orifice.

« Lèves la tête et ouvre la bouche ! » Je lui mets la boule dans la bouche et attache le bâillon derrière sa tête.« Bien maintenant passons à table ! »

De retour dans le salon, Olivier et moi retournons nous asseoir dans le canapé pour finir l'apéro. « Mets la table, deux couverts ! ». Agnès commence alors de lents allée-retours entre la cuisine et la table du salon, la chaîne et les talons ne lui permettant que des petits pas.

Nous commençons alors le repas, tout en continuant de discuter comme si de rien n'était. Agnès va d'Olivier à moi, nous sert à boire, puis les plats. À chaque fois une main remonte le long de ses jambes, vient appuyer sur le plug et titiller son clitoris, un ou deux doigts s'immisçant dans sa fente qui ne cesse de s'humidifier. Une fois le fromage servi, je l'appelle : « Agnès vient par ici et mets-toi à genoux ». Elle s'agenouille à côté de moi. Je me baisse et attache les mousquetons de ses poignets à ceux de ses chevilles. Puis je sors la boule de sa bouche. « Tu as faim ?
- Oui monsieur.
- Tiens, manges ça. » Et je lui présente alors au creux de ma main quelques morceaux de fromage. Elle se penche et mange doucement dans le creux de ma main. Je prends alors mon verre de vin et commence à la faire boire doucement. L'opération est périlleuse et du vin coule de chaque côté de sa bouche, puis dans son cou.

« J'imagine que tu as encore faim ? Alors, passe sous la table et viens prendre ton dessert ! » J'ouvre alors mon pantalon et sors mon sexe. Agnès avance doucement sur les genoux et viens se placer entre mes jambes. Elle commence à me sucer. L'air de rien, je reprends ma discussion avec Olivier, de temps en temps je pose ma main sur la tête d'Agnès pour la forcer à me garder en bouche. « Changes de côté de la table, Olivier meurt d'envie de t'offrir son dessert ! » Sous la table Agnès se tourne lentement et va se placer entre les jambes de son homme qui lui fourre sa bite déjà bien dure dans la bouche

Après un ou deux allés-retours d'Agnès sous la table, nous sortons enfin de table. Je remets la boule dans la bouche d'Agnès et lui détache les poignets. « Va nous préparer les cafés, on t'attend au salon. » Quelques minutes plus tard, Agnès arrive avec un plateau et nos deux cafés. Elle marche encore plus doucement pour ne pas les renverser. « Donnes le plateau à Olivier et mets-toi à quatre pattes entre nous. » Je pousse alors la table basse sur le côté, libérant ainsi l'espace entre le fauteuil où je suis assis et le canapé où se trouve Olivier. Agnès prend la pose. « Parfait, tiens ton dos bien droit, tu fais une magnifique table basse ! » Après avoir bu quelques gorgés, Olivier et moi posons délicatement nos tasses encore chaudes sur le dos d'Agnès. Elle se concentre pour ne pas bouger. Nous finissons nos cafés le plus lentement possible, enlevant et reposant plusieurs nos tasses sur son dos.

Une fois vide nous les posons définitivement. Je commence alors à caresser Agnès. Elle frémit, mais reste concentrée. J'invite alors Olivier à m'imiter. Quatre mains courent maintenant le long du corps d'Agnès, caressant ses jambes, ses fesses, ses seins, ses épaules, son visage, sa bouche. Les tasses tanguent, mais ne tombent pas. Une main d'Olivier se pose alors sur le sexe d'Agnès et commence à la masturber. Une des miennes commence à jouer avec le plug, à le sortir doucement de son anus. L'excitation est trop grande et une tasse finit par tomber.

Une claque tombe instantanément sur les fesses d'Agnès, qui encaisse en poussant un grand « Huuummm » étouffé par son bâillon. La deuxième tasse tombe. S'ensuit alors une fessée dans les règles, une claque tombant à intervalles réguliers, entrecoupé par de longues caresses. « Olivier, enlèves lui son bâillon et fais-toi sucer pendant que je la corrige. » Olivier se déshabille et se met à genoux devant sa femme, il lui enlève la boule et fourre sa bite dans sa bouche. Agnès le pompe méticuleusement et, à chacune de mes claques, ses gémissements sont maintenant étouffés par le sexe de son homme.

Puis je me déshabille à mon tour, enfile un préservatif et me place derrière Agnès et glisse ma bite dans sa chatte trempée. Mes coups de hanche donnent le rythme à sa bouche qui suce toujours Olivier. Je fais signe à Olivier pour échanger nos positions : il pénètre sa femme pendant que j'enfonce ma bite au plus profond de la bouche d'Agnès. Nous échangeons encore une ou deux fois de rôle, prolongeant le plaisir.

« Olivier, allonges toi sur le canapé. » Pendant qu'il s'allonge, j'enlève la chaînette aux pieds d'Agnès, je la relève, attaches les mousquetons de ses poignets ensemble dans son dos et la fait s'asseoir à cheval sur son homme. Olivier la pénètre jusqu'à la garde puis l'attire vers lui pour qu'elle se penche en avant. Je me présente alors derrière elle. Je lui verse une dose de gel sur l'anus et l'étale doucement. Mes doigts glissent autour de sa rondelle, puis plongent doucement. Un, puis deux, ils tournent... Pendant ce temps, Olivier a commencé de lent va et vient. Je retire mes doigts et étale un peu de gel sur ma bite. Je pose mon sexe à l'entrée de son petit trou. Les mouvements d'Olivier viennent faire buter son anus sur la queue. J'avance légèrement, à chaque mouvement mon gland s'enfonce un peu plus dans son cul. Puis je pousse d'un coup sec, Agnès pousse un long « Aahhh ». Je lui attrape les bras et synchronise mes mouvements avec ceux d'Olivier. Le plaisir monte pour tous les trois. Après quelques minutes nous jouissons ensemble dans un long râle commun.

Je me retire, détache Agnès et finissons la soirée en nous complaisant dans notre luxure.

 

Par coquinfelin - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 17:32

Le métro accélère et quitte le quai. A l'intérieur tu comptes les stations qu'il te reste. Encore quatre. Tu n'est pas à l'aise, le métro le soir n'est pas ton environnement favori. Tu as beau savoir que ça ne se voit pas, tu as l'impression que tout le wagon sait que tu ne portes aucun sous-vêtement.

 

Tu as fait un peu la tête quand tu as raccroché tout à l'heure : « Rejoins moi ce soir en métro. Je t'attends à 22h07 à la station Place des Alpes, tu prendras la sortie côté Rue Voltaire. Tu mets une jupe longue légère, un chemisier, des bas et aucun sous-vêtement ! ». Tu n'oses pas trop regarder les autres passagers dans le wagon, de peur d'éveiller la curiosité.

 

A l'avant dernière station, deux hommes sont montés. Ils sont venus s’asseoir juste en face de toi. Même sans lever la tête, tu sens qu'ils te regardent. Ils se parlent doucement en pointant le menton dans ta direction. Tu finis par oser lever les yeux. Tu croises leurs regards, un des deux te fait un clin d’œil. Tu te lèves précipitamment et tu te diriges vers la porte. Ainsi tu leurs tournes le dos.

 

"Place des Alpes", le métro freine et s'immobilise. Tu descends sans te retourner. Les deux hommes descendent aussi, ils te doublent et l'un deux lance un "Bonne soirée !" en se retournant. Tu es un peu paniquée, tu cherches la bonne sortie, scrutent les panneaux de direction. Ah voilà "Rue Voltaire". Tu marches en direction de la sortie, quand ton téléphone vibre. C'est un SMS : "Une fois rue Voltaire, tu continues tout droit, trottoir de droite." Un frisson descend le long de ton dos... Tu reprends ta marche vers la sortie, les pensées se bousculent dans ta tête. Tu ne fais pas attention aux deux hommes qui te suivent à distance.

 

Une fois dans la rue, la douce fraîcheur du soir te ramène sur terre. Tu respires profondément et continue tout droit, trottoir de droite, comme indiqué. Soudain tu entends des pas et une discussion derrière toi. Tu te retournes rapidement et reconnais l'allure des deux hommes du métro. Tu accélères.

 

Au moment où tu passes devant l'entrée d'une cour de garages extérieurs, une ombre sort de derrière le mur et se place devant toi. La seconde d'après elle te plaque contre le mur intérieur de la cour et t'embrasse fougueusement. Tu me reconnais, après la montée d'adrénaline, le soulagement te libère totalement. Tu te laisses aller. C'est à ce moment que les deux hommes pénètrent eux aussi dans la cour.

 

Tu pousses un petit cri d'effroi. Je met ma main sur ta bouche. Un des deux hommes attrape tes mains et les attaches dans ton dos, l'autre te bâillonne la bouche. Puis ils te soulèvent, chacun sous un bras. Je passes devant et me dirige au fond de la cour, loin de la rue. Les deux hommes me suivent en te portant. Je m'arrête, ils te posent au sol. « Bonsoir poupée, je te présente Éric et Pascal, tu as sans doute déjà croisé leur pseudo sur le site de rencontres où je t'ai trouvée. Je me suis dit qu'une salope comme toi, c'est vraiment dommage de ne pas la partager. Es-tu prêtes à nous satisfaire ? ». Tu es toujours bâillonnée, tes yeux cherchent les miens dans la semi-obscurité. Après quelques secondes, tu fais un petit oui avec la tête.

 

L'instant d'après tu es à genoux. Éric t'as libéré les mains, je t'ai enlevé ton bâillon, et tu as 3 belles queues en érection autour de toi. Tu avales la première tout en t'accrochant avec chaque main aux deux autres. Une main se pose sur ta tête et te force à changer de sucette. Puis une autre te tire la tête en arrière et donne plusieurs coup de bite sur tes lèvres. Tu es totalement submergée.

 

Je te relèves et t'oblige à te pencher en avant. Pascal fourre sa bite dans ta bouche. Éric soulève ta jupe et commence à te caresser. Je m'occupe d'ouvrir ton chemisier et de faire jaillir tes seins. Malgré la fraîcheur de la nuit, ton corps brûle littéralement. Éric, à genoux, te lèche le clitoris, Pascal force ta tête à de rapides va et vient, pendant que mes doigts prennent possession de ta chatte et de ton cul.

Puis le manège tourne, les positions changent. J'en profite pour te mettre une bonne claque sur les fesses, que tu sentes complètement ta condition de femme soumise. Maintenant tu as deux bites face à toi, une main sur chacune, ta bouche passe successivement de l'une à l'autre. Pendant ce temps, Éric a pris possession de ta chatte. Ta tête explose, tu n'arrives plus à tenir une pensée plus de deux secondes, tu es juste capable d'obéir à nos voix, à nos gestes.

 

Je te relève et t'embrasse à pleine bouche. Derrière toi, Éric et Pascal te soulève et t'empale sur ma bite. Tu t'accroches à mon cou avec tes bras et à mes hanches avec tes jambes. Tu sens alors une autre queue te pénétrer par derrière. Un devant, un derrière, toi suspendu dans l'air, ne touchant plus sol, nos mains te soulèvent et te descendent en cadence. Ton orgasme arrive très vite. Nous en profitons pour échanger les rôles. Tu jouis cinq ou six fois de suite.

 

Tu es épuisée. Nous te reposons à genoux dans la position initiale. Nous nous branlons tous les trois autour de ton visage. Éric est le premier à venir. Tu ouvres grand la bouche et avales tout son sperme. Puis Pascal te tourne la tête et éjacules sur ta joue. Enfin j'attrape ta tête à deux mains et enfourne ma bite au plus profond de ta bouche. Je me libère en longue giclée dans ta gorge.

 

Les hommes se rhabillent. Tu restes à genoux, les mains aux sols, à essayer de reprendre ta respiration. Éric ouvre alors un des garages et sort une voiture. Je te relève, je t'embrasse et te dis « Bonne soirée ma chérie ». Je sers la main de Pascal et d'Éric. Tu m'entends leur dire « Je vous la confie les gars, mais n'oublier pas de la ramener propre avant l'aube chez elle ! »

 

Je te pousse à l'arrière de la voiture, à côté de Pascal. Éric démarre. Pour toi la nuit vient de commencer.

Par coquinfelin - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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