Couple candauliste soumis

Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 00:09

Résumé : Pour son deuxième jour, j'ai emmené Élise chez elle. Après l'avoir attachée, je l'ai baisée pendant que son mec écoutait et l'invectivait au téléphone. Puis je suis parti, la laissant attachée pour que son homme profite de la vue et de la situation.

Comme tous les soirs, je me connecte au site. Pas de trace de Nico ou d'Élise. Le temps passe quand tout à coup le bip d'une demande de tchat. C'est Nico. « Bonsoir, je suis content de te trouver. Je voulais te remercier.
- Y'a pas de quoi je me suis bien fait plaisir aussi.
- Mais pas seulement pour cette après-midi - c'est vrai que j'ai bandé comme un malade en t'écoutant la prendre au téléphone. Pour la suite.
- Ah ok. Raconte, ça m'intéresse.
- Quand je suis rentré, elle était toujours là, le cul en l'air, la tête enfoncée dans le canapé, les mains attachées derrière ses jambes. Ton sperme avait coulé sur tout son visage. J'ai cru qu'elle allait me demander de la détacher mais au lieu de ça elle m'a dit "Excuses moi, je suis qu'une salope. Je m'aperçois qu'en plus j'adore être soumise, attachée, prise de force, que l'on m'insulte et traite de chienne."
- Ça m'étonne pas. Elle était vraiment dans un état second quand je l'ai laissée. Et qu'est-ce que tu as fait.
- Je bandais comme un fou. Ces paroles ont fait comme un déclic. Je lui ai claqué le cul et je l'ai insulté. Puis je me suis mis à poil et je l'ai sodomisée comme une chienne. Ça faisait un moment que je l'avais pas baisée comme ça.
- Je me suis retenu pour pas lui défoncer sa rondelle. J'espérais que tu le fasses.
- J'ai fini en lui giclant sur le visage. Mon sperme chaud s'est mélangé au tien froid. Puis je l'ai détachée. Je me suis affalé dans le canapé. Elle est partie prendre une douche et nous avons mangé. Puis nous avons fait l'amour comme deux amants. Le panard.
- Excellent ! Une question : tu lui as pas dit que nous dialoguons ensemble ? Elle croit toujours que l'on n'a pas de contact tous les deux ?
- Oui. Je n'ai rien dit. Je te fais confiance pour la suite. Aujourd'hui c'était royal.
- Ok. On continue comme ça. Je ne te dis pas la suite. A+.
- Tchao. »

Le lendemain, quand Élise arrive au travail, elle fait la tournée de bonjour et s'arrête à mon bureau. Elle n'avait aucune consigne et pourtant elle est habillée très sexy. Elle me fait la bise et me murmure « Que dois-je faire aujourd'hui Monsieur ? ». Je la regarde. « On mange ensemble à midi ? ». Elle acquiesse et s'en va toute légère à son poste.

À l'heure du déjeuner, je la retrouve dehors. Je l'invite à marcher pour aller manger. « Raconte-moi ta soirée. Que s'est-il passé quand ton mec est rentré. Je veux tous les détails ! » Elle commence à me raconter ce que je savais déjà. Mais c'est encore plus excitant de l'entendre de la bouche d'une femme. De temps en temps je la reprends pour y ajouter un vocabulaire plus cru. Pendant le repas, je l'oblige à me raconter leurs expériences passées dans le libertinage. Elle me raconte par le menu les fois où elle s'est fait défoncer par des jeunes hommes bien membrés sous les yeux de son mec. En revenant vers le travail, je l'entraine dans un recoin d'immeuble. Ma main relève sa robe et écarte son string. Sa chatte est bien évidemment trempée. « Ça t'excite de raconter tes exploits de chiennasse ! T'as envie que je te prenne là contre ce mur comme une vulgaire traînée !
- Oh oui Monsieur, j'ai envie de votre queue. Prenez- moi s'il vous plaît.
- Mets-toi à genoux que je te baise la bouche. C'est tout ce que tu auras aujourd'hui. »

Elle s'agenouille, m'ouvre le pantalon et sort mon sexe qui sort tel un ressort. Je l'enfourne immédiatement dans sa bouche, la saisie par les cheveux et commence des va-et-vient entre ses lèvres, de plus en plus loin, de plus en plus longtemps au fond. Je finis par lui gicler dans la bouche. Elle avale tout sans en perdre une goutte. Je la relève, elle se recoiffe. « Tiens prend ça. Tu ne l'ouvres surtout pas. Ce soir tu la donnes à ton mec en rentrant. » Je lui tends un petit carton. « Je te laisse finir de te remaquiller, je retourne au taf seul. On se voit demain. »

Le carton contient 3 choses :
- un petit rosebud
- un oeuf type vibrant mais sans télécommande
- un message pour Nico avec comme consigne de ne pas le faire lire à Élise.

Le message :
Nico. Voici la suite du programme. Ne fais pas lire ce message à Élise et ne lui montre pas le contenu du carton avant demain.
Demain matin, je veux que tu mettes ces deux jouets à ta femme avant qu'elle parte au boulot. Le rosebud dans l'anus, l'oeuf dans le vagin.
Habille là sexy avec des talons hauts.
À midi, rentre chez toi. Gare ta voiture loin de l'entrée. Installes toi dans un coin de la chambre et attend !

Comme tous les matins, Élise arrive après moi au travail. Je la guette, la voit arriver de loin. Tenue sexy, talons hauts mais la décharge mal assurée. Quand elle est à deux mètres de mon bureau, j'active le petit bouton de la télécommande que j'ai dans la main. Élise s'arrête net, semblant chercher l'équilibre. Pour ne pas attirer l'attention, elle repart de l'avant mais elle s'appuie immédiatement à mon bureau. Elle se penche pour me faire la bise. « Non, fait le tour que je te vois marcher » lui dis-je tout bas. Elle fait le tour de ma table en s'appuyant au bord avec une main. « Bonjour Élise, j'espère que tu apprécies ta surprise du matin . On mange encore ensemble à midi ?
- Oui, avec plaisir.
- (Plus bas), Essayes de pas trempée ta culotte. Ça pourrait se voir. »

Élise file à son bureau sans demander son reste. Elle ne le quitte pas de la matinée. Je passe 2 / 3 fois pour l'observer : Jambes croisées, tête baissée, elle attend de toute évidence la pause déjeuner. À midi je passe la chercher. Elle attrape son manteau, et l'enfile avant même de faire son premier pas. Dans l'ascenseur nous sommes seuls. J'ouvre son manteau et passe ma main sur ses fesses. Elles sont trempées. « Il va falloir encore un peu tenir ! » Je la dirige vers ma voiture. Je démarre direction chez elle. Elle reconnaît très vite le chemin mais ne pipe pas un mot. J'augmente la vitesse de vibration de l'oeuf. Elle serre les jambes et se mord les lèvres.

Je me gare devant chez elle, l'invite à descendre. Elle ouvre, nous rentrons. Dès la porte fermée, je l'arrête et lui bande les yeux. Je l'emmène dans la chambre. Là, comme prévu, Nico est assis dans un fauteuil, sans bruit. Je la laisse debout au pied du lit. Je m'allonge. « Déshabilles toi et fais- moi bander ! » Elle commence alors à s'effeuiller langoureusement, ne gardant que ses talons. Elle se cambre pour mieux montrer son cul et le "diamant" du rosebud qui orne l'entrée de son anus. Une vraie salope professionnel ! Nico n'en perd pas une miette non plus.

Je me lève et l'invite à se mettre à quatre pattes sur le lit, tête tournée vers son mec qu'elle ne voit pas. Je passe ma main sur son sexe toujours trempé. Je rentre deux doigts qui vont jouer avec l'oeuf. Mon autre main joue avec le rosebud, le fait tourner, entrer, sortir... Élise monte tout de suite dans les tours. Les « Oh oui » s'enchainent de plus en plus fort. J'arrête net et lui claque le cul. « Et tu aimes te faire fesser petite salope ? Tu le mérites petite chienne ! Jouer la soumise, mouiller ta culotte toute la matinée, te laisser mener chez toi. Tu as envie de te faire prendre sur le lit conjugal ! Qu'est-ce qu'il dirait ton mec ?
- Oh oui, je suis une salope. Je mérite t'être punie. Je le fais cocu et j'aime ça.
Une claque tombe.
- Tiens prend ça et comptes tout fort !
Je pousse le bouton de l'oeuf à fond.
- Trois... Quatre... Cinq... Six... Sept...
Son cul est rouge. Les chiffres commencent à sortir plus difficilement de sa bouche.
- Huit... Neuf... Sniff..
Ma main chauffe autant que son cul. Des larmes commencent à couler sur ses joues.
- Dix.

Je lui caresse doucement les fesses pour l'apaiser. Mes doigts retournent jouer avec l'oeuf. Trois, puis quatre. Ma main tourne, mon pouce se fraie un passage. Élise a oublié sa douleur et reprend ses gémissements de plaisir. Dans son fauteuil, Nico a ouvert son pantalon et se branle doucement. Je retire le rosebud de l'anus d'Élise. Je monte sur le lit et me positionne juste au-dessus de son cul. Je pose ma bite sur son petit trou et tire la tête l'Élise par les cheveux pour qu'elle n'esquive pas. « Vas-y, écarte tes fesses et recule, viens t'empaler sur ma bite ! » Elle se redresse, la tête tirée en arrière, ses mains sur chacune de ses fesses, écartant sa rosette. Je pousse tout en tirant ses cheveux. Mon gland pénètre lentement, puis est happé par son cul. Je lui lâche les cheveux et la saisi par les hanches. Je m'enfonce doucement en elle. Je pousse jusqu'à ce que mon ventre écrase ses fesses. « Tu me sens bien là petite chienne ? Tu la sens ma bite dans ton fion ?
- Oh oui. Je la sens. Elle est grosse. Elle me défonce ! »

À ce moment-là, j'enlève son bandeau des yeux. Je l'attrape par les bras tirés en arrière et commence à lui pilonner doucement mais amplement le cul. Ses yeux se réhabituent rapidement à la lumière et elle découvre en face d'elle son mec en train de se branler. Elle en reste bouche bée. De simples "Humpf" cadencés par mes mouvements sortent de sa bouche.

« Il te défonce le cul ma chienne ! Tu aimes ça visiblement ! Tu es belle comme ça, prise bestialement ! » Nico se lève et vient embrasser à pleine bouche sa femme. Je lui relâche les bras. Il enfonce alors sa bite dans la bouche de sa femme qui le suce au rythme de mes coups de reins de plus en plus rapide dans son cul. Après quelques minutes, je me retire et lui éjacule entre les fesses. Lui attrape la tête de sa femme et lui éjacule dans la bouche en râlant.

Par domfel69 - Publié dans : Couple candauliste soumis - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 8 mai 3 08 /05 /Mai 00:44

Résumé du 1er épisode "Élise - le piège" : Je découvre qu'Élise, une collègue, a une fiche couple sur un site libertin et que son homme est candauliste. Je la piège, avec le semi-consentement de son mec."

Élise passe le reste de sa journée à soigneusement m'esquiver. Je la laisse faire mais le soir, avant de partir, je passe à son bureau. « Bonsoir Élise, passe une bonne soirée. Et demain, habilles-toi sexy, j'adore ça. Tiens, je te rends ton string, mais pas la peine d'en remettre un demain. »

Le soir, après avoir allumé l'ordinateur, je me connecte au site. Comme je m'y attendais, Nico est présent. Je le contacte par tchat. « Salut Nico, bonne journée ?
- Salut. Je t'attendais. Quelles sont les nouvelles ? Élise n'a pas pipé mot de la soirée, on dirait qu'elle me fait la gueule.
- C'est une petite cachottière, ça veut peut-être dire qu'elle a aimé...
- Aimé quoi ?
- Tiens regarde (je lui envoie la photo prise le matin, où Élise me suce).
- Oh putain, la salope. Tu l'as baisée ?
- Non, je lui ai juste fait comprendre qui dirige. Mais félicitations, c'est une sacrée suceuse !
- STP, raconte !
- OK, mais c'est uniquement parce que je veux que tu lui caches encore un peu que tu sais qui je suis. »

Et je lui raconte en détail comment j'ai baisé la bouche de sa femme après l'avoir doigtée, mais en la frustrant d'un orgasme. Il est très excité. Avant de le laisser je lui donne quelques consignes :
- essayer d'assister à l'habillage d'Élise demain matin puis de m'envoyer par mail la description de sa tenue.
- surtout de ne pas s'éloigner de son portable demain.
- ne rien dire à Élise avant que je l'en autorise.

Le lendemain, j'arrive au taf avant Élise. Quelques minutes plus tard, mail de Nico : "Elle est en jean/t-shirt, classique, mais visiblement ça la faisait chier que je sois à côté d'elle pendant qu'elle s'habillait. Nico". Exactement ce que j'espérais. Maintenant restait à savoir si elle s'était changé sur le chemin ou si elle oserait venir en jean / t-shirt ou si au moins elle aurait enlevé le string.

L'heure habituelle d'arrivée d'Élise arrive, puis passe, 5, puis 10 minutes. C'est avec un quart d'heure de retard qu'Élise arrive au travail. Pour éviter de se faire remarquer elle se dirige tout droit à son bureau et évite la tournée de bonjours. Mais même de loin, je m’aperçois parfaitement qu'elle n'est pas en jean / t-shirt. Elle a donc feinté son homme pour respecter les consignes sans avoir à lui expliquer. Une petite déception m'envahit, j'aurais aimé avoir un prétexte pour la punir. Mais qu'elle cache nos rapports à son mec me laisse la possibilité de lui préparer de belles surprises.

Je lui envoie un message sans attendre. "Ajoute un rendez-vous client dans ton agenda à 16 heures. Passe voir mon chef et dis-lui que tu as besoin de moi pour ce rendez-vous pour une expertise. À toute". Dix minutes plus, j'entends des talons approcher. C'est Élise : Talons aiguilles, jupe droite légèrement fendue, chemisier blanc limite transparent. Une vrai Working Girl sexy. Elle s'arrête au bureau de mon boss, passe sa tête par l'encablure de la porte et discute 2 / 3 minutes avec lui. Puis ils sortent tous les deux et viennent vers moi. Mon chef m'annonce alors : « Élise doit rencontrer un prospect cette après-midi et elle a besoin de ton expertise pour blinder le rencart. Tu peux l'accompagner ?
- Sans problème. Je n'ai rien contre sortir de ces bureaux de temps à autre. Élise, je passe te voir dans 5 minutes histoire que tu me fasses un petit brief que je chasse quoi réviser.
- OK je t'attends. À toute suite. Et merci ! »

Je débranche mon portable et je me dirige vers le bureau d'Élise. Je pose le PC sur ce bureau, attrape une chaise et m'assois juste à côté d'elle. J'ouvre le portable, me connecte à la messagerie interne et commence à écrire un message instantané à Élise. "Connecte-toi au site et montre-moi les photos de tes albums privés !". À côté, Élise lit puis me regarde. Elle tape l'adresse du site dans le navigateur, se connecte et ouvre ses albums. À quelques mètres de nous passe des collègues. Les photos de la miss s'affichent en grand sur son écran. À quatre pattes le cul offert, un membre dans la bouche, un god dans la chatte... "Félicitations pour la tenue, tu es très sexy. Laisse-moi deviner, tu as mis des bas...". Et en même temps que j'envoie ce nouveau message, je pose discrètement une main entre les cuisses d'Élise. Elle me répond "Oui, avec porte-jarretelles et pas de culotte". "Remonte ta jupe !". Élise soulève légèrement ses fesses de sa chaise et tire doucement sur le haut de sa jupe, découvrant le haut de ses bas, les jarretelles puis son sexe lisse. "Écartent les cuisses !". Ses jambes se desserrent doucement, ma main remonte doucement jusqu'à toucher son sexe. Elle sursaute. Mon majeur force doucement ses grandes lèvres et découvre un minou tout mouillé. Toujours par messagerie : "Tu aimes ce jeu petite salope ! Tu l'as dit à ton homme ?
- Non.
- Pourtant il aime ça te voir prise devant lui. Te voir prendre du plaisir dans les positions les plus hards.
- Justement, comme là il me voit pas, je ne veux pas le frustrer.
- C'est mignon.Je passe te prendre cette après-midi vers 16 h."
Je referme mon portable, échange 2 / 3 mots boulots avec Élise histoire de donner le change. Puis je la laisse, pendant qu'elle se rhabille.

À 16h je passe à son bureau. Elle est prête. Nous prenons l'ascenseur en compagnie de deux collègues. Une fois sortis, je lui dis « C'est moi qui t'emmène » et je l'invite à monter dans ma voiture. Je démarre et m'éloigne rapidement. « Maintenant indique-moi comment aller chez toi.
- Mais c'est déjà 16 h, Nico arrive à 19 h.
- Quand j'aurais besoin de ton avis je te le demanderais. Alors tu m'indiques la route et tu remontes ta jupe sur ton ventre, tu écartes bien les cuisses, tu ouvres ton chemisier, tu enlèves ton soutif.
- Prends le périph et tu sors à la 5. »
Et en même temps qu'elle prononce ces paroles, elle commence à remonter sa jupe. Elle écarte les jambes, son genou vient toucher ma main sur le levier de vitesses. Elle glisse dans le creux de sa cuisse et se pose délicatement sur son sexe et commence à titiller son clito. Dans un mouvement que les femmes maîtrisent, elle ouvre son chemisier et enlève son soutien-gorge sans se dénuder totalement. Nous roulons à vitesse moyenne. Sur le périph, quelques camions klaxonnent quand on les double. Aux feux, un cycliste tape même à la vitre.

Je me gare devant chez elle. Je l'autorise à se rhabiller avant de descendre. Elle ouvre la porte. Nous rentrons. Elle referme. Je la plaque face à la porte. Je dézippe sa jupe qui glisse à ses pieds. D'un coup sec je lui ouvre son chemisier, les boutons volent. Mes deux mains pétrissent ses seins. Je l'embrasse dans le cou. Puis mes mains glissent entre ses jambes et commencent à la masturber. Elles passent d'un sein à son sexe alternativement, sans lui laisser de répit. Élise respire fort, son sexe est trempé.

Quand elle est bien excitée, je la lâche et me recule. « Prends ton sac et emmène-moi au salon. » Elle ramasse son sac, je prends le mien et la suis. « Mets toi à genoux sur le canapé, tu te penches en avant, ta joue contre le tissu, et tu mets tes bras en arrière, tes mains se joignent sous tes fesses. » Elle obéit. Je l'aide à se placer correctement puis, une fois en position, je lui attache les mains. J'ouvre son sac et sors son téléphone portable et son oreillette bluetooth. Son visage se ferme, elle ne comprend pas où je veux en venir. Je lui place l'oreillette dans l'oreille. « Tu vas me donner le téléphone de ton mec. Tu vas lui expliquer qu'il y a un mec au boulot qui te fait chanter à cause d'une photo. Qu'il fait de toi sa soumise et que tu aimes ça.
- C'est dégueulasse de faire ça !
- Tu préfères prendre ton pied toute seule, comme une vraie pute ? Tu sais qu'il adore te voir prise comme une chienne. Donne moi son numéro ! »

Elle me dicte le numéro. J'appelle. Il décroche dès la première sonnerie. « Allo, Nico, c'est moi.
- Qu'est-ce qui se passe. Pourquoi tu m'appelles à cette heure ?
- J'ai un truc à te dire...
Pendant ce temps je commence à caresser le cul bien exposé d'Élise. Je passe sur sa chatte, son petit trou. Je lui caresse les cuisses.
- C'est grave ?
- Oui et non. Je sais pas comment, mais y'a un mec au boulot qui a récupéré une photo de moi en train de sucer une bite. Et depuis il veut... (hésitations et respiration accélérée)
- Il veut quoi ? Élise ?
Je donne une petite claque sur son cul.
- (un petit hum lui échappe)... Il veut m'obliger à avoir du sexe avec lui.
- Tu as accepté ?
- Non, enfin... je n'ai pas vraiment le choix...
- Il t'a baisée ?
Je commence à lui lécher l'anus tout en la masturbant. Son souffle est de plus en plus court, elle retient quelques gémissements.
- Non.
- Qu'est-ce qu'il t'a fait alors ?
- Il me traite comme...
J'accélère la cadence. Ma langue remonte de son clito à son petit trou. Elle se tord.
- Comme quoi ? Élise, vas-y parle ! Qu'est-ce qui se passe ?
- Comme sa soumise. (Hummm)
Elle n'a pas pu retenir ce gémissement. Il ne peut pas ne pas l'avoir entendu.
- Élise, tu es seule ?
- Non chéri... (Hummm) Il est en train de me bouffer le cul... et j'aime ça.

Silence au bout du fil. Élise profite de cette pause pour monter dans les décibels. Je me relève et me déshabille. Je prends l'oreillette : « Allo, Nico c'est ça ?
- Oui, c'est ça
- Je sais que tu aimes voir ta petite chienne se faire prendre devant toi. Désolé là je n'ai pas eu le temps de t'envoyer une invitation mais comme j'aime bien partager moi aussi, j'ai pensé que ça te ferait tout de même plaisir de l'entendre se faire prendre ?
- (silence)
Je m'agenouille devant Élise et lui fourre mon sexe dans la bouche. Son visage est collé au canapé, elle ne peut pas vraiment bouger la tête.
- Tiens là je vais lui baisser la bouche. Ça t'exciterait d'entendre ce que ça donne ?
- (hésitations) Oui, fait moi écouter !
Je remets l'oreillette sur l'oreille d'Élise et commence des va-et-vient pour accentuer les bruits, je sors ma bite de sa bouche et la fais re-rentrer dans un bruit de succion. Puis je m'enfonce le plus loin possible et reste 2/3 secondes au fond de sa gorge. Puis je me retire, elle respire à fond, aspirant le maximum d'air. Je reprends l'oreillette.
- Tu aimes ?
- Elle prend cher à ce que j'entends. J'avoue que c'est assez excitant de l'imaginer se faire baisser la bouche.
- Pour aider ton imagination, elle a le visage collé au canapé, le cul en l'air, les mains attachées derrière les jambes. Je vais lui remettre l'oreillette et je vais la sauter en levrette. N'hésites pas à l'encourager, je suis sûr qu'elle appréciera.
Je recolle l'oreillette à Élise. Je me mets debout sur le canapé, une jambe de chaque côté de son cul. Je me baisse et la pénètre d'un coup sec.
- Ahhhahh
- (en parlant fort) Ça y est Nico, je la baisse. Sa chatte est trempée.
- Ahhahh
- Tu aimes ça ma chéri, tu aimes te faire prendre par ton collègue.
- Oui, j'aime ça. C'est bon.
J’amplifie mes mouvements et les accompagne par des claques bruyantes sur ses fesses.
- Tu aimes qu'on te claque le cul comme ça ma salope ?
- Oh oui, c'est bon.
- Vas-y lâches-toi ma belle !
- Oh oui, oh oui, oh oui...
Je lui attrape les fesses à pleines mains et accélère. Mon bassin claque son cul à chaque aller-retour, dans un bruit significatif.
- Il te défonce bien, ma salope ! Je l'entends !
- Oh oui ! je jouiiiis !
Brusquement je m'arrête et je reprends l'oreillette. Je lui éjacule sur le visage.

« Allo Nico ?
- Oui. Vous avez fini ?
- Oui, c'est un sacré bon coup ta salope !
- Oui, elle a l'habitude d'accueillir les bites...
- Je vais te laisser. Un conseil, tarde pas trop à rentrer. À une prochaine. »
Et je raccroche.

Je me rhabille. Puis je prends une photo d'Élise qui n'a pas changé de position, perdu dans ses pensées. Le flash la fait sursautée. « Je te laisse comme ça. Comme ça ton mec pourra voir ce qu'il a entendu. Peut-être même que cela lui donnera l'envie d'en profiter aussi. Je compte sur toi pour me raconter demain ! A plus ! »

Par domfel69 - Publié dans : Couple candauliste soumis - Communauté : Récits Erotiques X
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Jeudi 2 mai 4 02 /05 /Mai 23:50

« Élise, je peux te déranger quelques secondes, j'ai un document à te montrer »

Élise sursaute. Elle était absorbée par son écran. Elle n'a d'ailleurs pas été assez rapide pour fermer ce qu'elle regardait, j'ai le temps de reconnaitre un site libertin que je fréquente et même de lire son pseudo. Pas de chance Élise, avec n'importe quel autre collègue cela serait passer. Je ne lui fais rien remarquer sur le coup, faisant celui qui n'a rien vu. Une fois revenu à mon bureau, les idées fusent et très vite j'imagine comment tourner ça à mon avantage.

Élise a la trentaine passée et est chargée d'affaires dans la même boite que moi. Mariée, un enfant, c'est une très jolie fille mais pas franchement populaire. Un peu d'incompétence, de la faiblesse mal placée et des conversations rasoirs, un mauvais cocktail. Le genre de fille qu'on fantasme en soumise. Qu'elle fréquente un site libertin est un bel atout. Mais il manque quelques cartes avant de tenter un tapis.

Le soir, je me connecte au site en question. Je retrouve rapidement la fiche correspondant au pseudo aperçu. Surprise, une fiche couple ! Pas de photo publique, une description minimaliste et une recherche exhibition, échanges de photos, candaulisme, échangismes. Je flaire la bonne pioche. Je me déconnecte et commence à me créer une fiche couple : quelques photos empruntées à droite à gauche, une description simple et banale et surtout une recherche collant la leur fiche. Je leur écris ensuite un message, le plus convainquant possible. Le plus dur commence alors, attendre qu'ils se connectent.

Ça y est. J'attends encore. Mon message passe en statut "Lu". Encore un peu et je reçois une réponse. C'est Monsieur qui répond, visiblement très intéressé. Je le contacte aussitôt par tchat. Il est seul au clavier. Après les présentations d'usages, j'oriente très vite la discussion sur Madame. Nico, c'est son prénom, est alors intarissable. Je comprends qu'il aime exhiber sa femme et qu'il adore la voir prendre du plaisir devant lui. Je flatte se penchant et le convaincs de me montrer des photos.

C'est très excitant de découvrir la facette cachée de quelqu'un que l'on connaît, surtout quand cette face cachée est si sexy. Nico me montre un diaporama complet d'Élise en tenues légères, dans différentes positions, seule et accompagnée. Sur chacune son visage est flouté, il m'en faut plus. Je lui fais des compliments sur sa femme, n'hésitant pas à donner dans le graveleux ce qui visiblement l'excite encore plus. Je lui montre quelques photos de ma soi-disant femme mais je reviens très vite sur la sienne. Le sentant en confiance, je lui propose une rencontre. Nous débattons alors modalités. J'abonde dans le sens de ses contraintes et demandes et nous finissons par fixer un rendez-vous. Juste avant de le lâcher, je tente le coup de bluff : sous prétexte que j'aime fantasmer en attendant les rencontres sur ma future partenaire, je lui demande s'il a des photos de Madame non floutées. Il hésite quelques secondes. Il finit par m'envoyer une photo d'Élise, une bite à la bouche, les yeux fixant l'objectif. BINGO !

« Nico, je connais ta femme. Elle s'appelle Élise et bosse avec moi ! »

Silence radio. Voyant qu'il ne réagit pas, je reprends :
« Mais ça ne change rien. Je suis toujours intéressé. Cela risque juste d'être un peu différent.
- C'est-à-dire ?
- Écoutes, je ne vais pas y aller par 4 chemins. Certaines personnes seraient très étonnées de découvrir la photo que tu viens de m'envoyer. Y'a pas de raison que ça arrive, d'autant que ce que tu aimes c'est la voir se faire prendre, et que sur ce point on est en phase. Il va juste y avoir quelques règles en plus. Mais je ne vais pas t'embêter avec ça maintenant. Je te demande juste de ne pas lui en parler. OK ?
- Je n'ai pas vraiment le choix...
- Prends le pas comme ça. C'est toujours le même trip, mais avec encore plus de piment.
- OK. J'attends de tes nouvelles alors.
- Tu en auras rapidement ! »

Le lendemain au travail. 9h30, j'attends qu'Élise soit seule à son bureau, je copie la photo dans un répertoire du serveur et je lui envoie un message instantané : « Ouvres vite ce document (lien), détruis le et rejoins-moi en bas pour une pause clope ! ». J'attends que le fichier se supprime sous mes yeux et je descends.

J'ai à peine le temps d'allumer ma cigarette qu'Élise arrive visiblement très énervée.
« T'es malade de balancer ça sur le serveur de la boîte ! T'imagines si les boss tombent dessus, où même un autre collègue, je suis grillée. J'aurais du mal à trouver un autre job. C'est ce que tu veux . Et puis d'où tu sors cette photo . Et... ». Je l'arrête net et l'attrape par le haut du bras, je la force à me suivre dans l'entrée des garages. Je la plaque face contre mur, bras tordu dans le dos. J'approche ma bouche de son oreille : « Écoutes moi bien Élise. T'as compris qu'à moitié visiblement, ce n'est pas une erreur si j'ai mis cette photo sur le serveur. Cette photo n'est qu'un petit aperçu, je sais pas mal de chose sur toi : que tu te fais prendre par des hommes, devant ton mec, que tu prends ton pied comme une salope. La seule différence entre toi et une pute c'est que tu fais pas payer. »

Je la tire en arrière et la force à avancer devant moi. Je la dirige vers l'escalier d'accès aux parkings souterrains. L'endroit est désert et très rarement emprunté. Je m'arrête devant la porte et la pousse devant moi. « Relèves ta robe et donnes moi ta culotte. » Elle hésite... Elle commence à remonter sa robe puis à enlever son string qu'elle me tend. Je le prends et le mets dans ma poche. Je m'approche d'elle, le plus près possible. Je lui bloque une main dans le dos, de l'autre je soulève sa robe et plaque ma main contre sa chatte. Avec le pied, je lui écarte les jambes. Mes doigts sentent s'entrouvrir ses lèvres déjà humides. Je la retourne, lui plaque les mains contre la porte, légèrement penchée en avant. Une main sur son clito par-devant, une autre sur sa chatte par-derrière, je commence à la masturber. Elle est maintenant totalement excitée, sa croupe ondule. Je rentre un doigt, puis deux, puis trois. Elle gémit des « oh oui, c'est bon »...

Je m'arrête juste avant qu'elle jouisse et lui donne une énorme claque sur les fesses. Elle pousse un cri. Je l'attrape par les cheveux et la force à s'agenouiller devant moi. « Avale ça qu'on ne t'entende pas ». Et je lui fourre ma bite au fond de la gorge. « Garde les mains dans le dos ». Je commence alors de lents mais très amples va-et-vients, ressortant à chaque fois de sa bouche. Un filet de bave pend de sa lèvre inférieure à mon gland. Je lui soulève le menton pour qu'elle me regarde. « Maintenant, tu fais la même chose toute seule et je veux voir tes yeux. »

Elle commence de lents mouvements de tête en s'appliquant. Mes yeux sont fixés dans les siens. « Accélères doucement ! ». Le rythme augmente, le plaisir aussi. « Avales moi jusqu'aux couilles et n'oublie de me regarder ». La bouche d'Élise avance doucement le long de ma bite. Plus elle avance, plus ses yeux partent. Elle reste ainsi quelques secondes puis relâche mon sexe en inspirant un grand coup. « Recommences et respires par le nez ». Ma bite bien au chaud dans sa bouche, je sens la jouiance approcher. Avant d'exploser je sors mon téléphone et la prends en photo. Elle recule et me balance un « salaud !.
- Fermes là, je te l'enverrais ! Je vais jouir, je te conseille plutôt de tout avaler si tu veux pas avoir à justifier de taches sur ton chemisier tout le reste de la journée... ».
Son regard me jette des éclairs. Elle ouvre la bouche et commence à me branler. « Ranges tes mains, tu vas me finir à la bouche ! » Je resaisis sa tête et lui baise littéralement la bouche. Je finis par gicler dans un grand râle. Elle avale tout avec un mouvement de haut-le-coeur.

Je me reboutonne et la relève. Son regard me fusille encore. Je lui claque un smack. « Je remonte. Rhabilles toi avant de retourner bosser. Je garde ton string, comme ça tu penseras à moi jusqu'à ce soir. »

Par domfel69 - Publié dans : Couple candauliste soumis - Communauté : Récits Erotiques X
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