Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 00:09

Résumé : Pour son deuxième jour, j'ai emmené Élise chez elle. Après l'avoir attachée, je l'ai baisée pendant que son mec écoutait et l'invectivait au téléphone. Puis je suis parti, la laissant attachée pour que son homme profite de la vue et de la situation.

Comme tous les soirs, je me connecte au site. Pas de trace de Nico ou d'Élise. Le temps passe quand tout à coup le bip d'une demande de tchat. C'est Nico. « Bonsoir, je suis content de te trouver. Je voulais te remercier.
- Y'a pas de quoi je me suis bien fait plaisir aussi.
- Mais pas seulement pour cette après-midi - c'est vrai que j'ai bandé comme un malade en t'écoutant la prendre au téléphone. Pour la suite.
- Ah ok. Raconte, ça m'intéresse.
- Quand je suis rentré, elle était toujours là, le cul en l'air, la tête enfoncée dans le canapé, les mains attachées derrière ses jambes. Ton sperme avait coulé sur tout son visage. J'ai cru qu'elle allait me demander de la détacher mais au lieu de ça elle m'a dit "Excuses moi, je suis qu'une salope. Je m'aperçois qu'en plus j'adore être soumise, attachée, prise de force, que l'on m'insulte et traite de chienne."
- Ça m'étonne pas. Elle était vraiment dans un état second quand je l'ai laissée. Et qu'est-ce que tu as fait.
- Je bandais comme un fou. Ces paroles ont fait comme un déclic. Je lui ai claqué le cul et je l'ai insulté. Puis je me suis mis à poil et je l'ai sodomisée comme une chienne. Ça faisait un moment que je l'avais pas baisée comme ça.
- Je me suis retenu pour pas lui défoncer sa rondelle. J'espérais que tu le fasses.
- J'ai fini en lui giclant sur le visage. Mon sperme chaud s'est mélangé au tien froid. Puis je l'ai détachée. Je me suis affalé dans le canapé. Elle est partie prendre une douche et nous avons mangé. Puis nous avons fait l'amour comme deux amants. Le panard.
- Excellent ! Une question : tu lui as pas dit que nous dialoguons ensemble ? Elle croit toujours que l'on n'a pas de contact tous les deux ?
- Oui. Je n'ai rien dit. Je te fais confiance pour la suite. Aujourd'hui c'était royal.
- Ok. On continue comme ça. Je ne te dis pas la suite. A+.
- Tchao. »

Le lendemain, quand Élise arrive au travail, elle fait la tournée de bonjour et s'arrête à mon bureau. Elle n'avait aucune consigne et pourtant elle est habillée très sexy. Elle me fait la bise et me murmure « Que dois-je faire aujourd'hui Monsieur ? ». Je la regarde. « On mange ensemble à midi ? ». Elle acquiesse et s'en va toute légère à son poste.

À l'heure du déjeuner, je la retrouve dehors. Je l'invite à marcher pour aller manger. « Raconte-moi ta soirée. Que s'est-il passé quand ton mec est rentré. Je veux tous les détails ! » Elle commence à me raconter ce que je savais déjà. Mais c'est encore plus excitant de l'entendre de la bouche d'une femme. De temps en temps je la reprends pour y ajouter un vocabulaire plus cru. Pendant le repas, je l'oblige à me raconter leurs expériences passées dans le libertinage. Elle me raconte par le menu les fois où elle s'est fait défoncer par des jeunes hommes bien membrés sous les yeux de son mec. En revenant vers le travail, je l'entraine dans un recoin d'immeuble. Ma main relève sa robe et écarte son string. Sa chatte est bien évidemment trempée. « Ça t'excite de raconter tes exploits de chiennasse ! T'as envie que je te prenne là contre ce mur comme une vulgaire traînée !
- Oh oui Monsieur, j'ai envie de votre queue. Prenez- moi s'il vous plaît.
- Mets-toi à genoux que je te baise la bouche. C'est tout ce que tu auras aujourd'hui. »

Elle s'agenouille, m'ouvre le pantalon et sort mon sexe qui sort tel un ressort. Je l'enfourne immédiatement dans sa bouche, la saisie par les cheveux et commence des va-et-vient entre ses lèvres, de plus en plus loin, de plus en plus longtemps au fond. Je finis par lui gicler dans la bouche. Elle avale tout sans en perdre une goutte. Je la relève, elle se recoiffe. « Tiens prend ça. Tu ne l'ouvres surtout pas. Ce soir tu la donnes à ton mec en rentrant. » Je lui tends un petit carton. « Je te laisse finir de te remaquiller, je retourne au taf seul. On se voit demain. »

Le carton contient 3 choses :
- un petit rosebud
- un oeuf type vibrant mais sans télécommande
- un message pour Nico avec comme consigne de ne pas le faire lire à Élise.

Le message :
Nico. Voici la suite du programme. Ne fais pas lire ce message à Élise et ne lui montre pas le contenu du carton avant demain.
Demain matin, je veux que tu mettes ces deux jouets à ta femme avant qu'elle parte au boulot. Le rosebud dans l'anus, l'oeuf dans le vagin.
Habille là sexy avec des talons hauts.
À midi, rentre chez toi. Gare ta voiture loin de l'entrée. Installes toi dans un coin de la chambre et attend !

Comme tous les matins, Élise arrive après moi au travail. Je la guette, la voit arriver de loin. Tenue sexy, talons hauts mais la décharge mal assurée. Quand elle est à deux mètres de mon bureau, j'active le petit bouton de la télécommande que j'ai dans la main. Élise s'arrête net, semblant chercher l'équilibre. Pour ne pas attirer l'attention, elle repart de l'avant mais elle s'appuie immédiatement à mon bureau. Elle se penche pour me faire la bise. « Non, fait le tour que je te vois marcher » lui dis-je tout bas. Elle fait le tour de ma table en s'appuyant au bord avec une main. « Bonjour Élise, j'espère que tu apprécies ta surprise du matin . On mange encore ensemble à midi ?
- Oui, avec plaisir.
- (Plus bas), Essayes de pas trempée ta culotte. Ça pourrait se voir. »

Élise file à son bureau sans demander son reste. Elle ne le quitte pas de la matinée. Je passe 2 / 3 fois pour l'observer : Jambes croisées, tête baissée, elle attend de toute évidence la pause déjeuner. À midi je passe la chercher. Elle attrape son manteau, et l'enfile avant même de faire son premier pas. Dans l'ascenseur nous sommes seuls. J'ouvre son manteau et passe ma main sur ses fesses. Elles sont trempées. « Il va falloir encore un peu tenir ! » Je la dirige vers ma voiture. Je démarre direction chez elle. Elle reconnaît très vite le chemin mais ne pipe pas un mot. J'augmente la vitesse de vibration de l'oeuf. Elle serre les jambes et se mord les lèvres.

Je me gare devant chez elle, l'invite à descendre. Elle ouvre, nous rentrons. Dès la porte fermée, je l'arrête et lui bande les yeux. Je l'emmène dans la chambre. Là, comme prévu, Nico est assis dans un fauteuil, sans bruit. Je la laisse debout au pied du lit. Je m'allonge. « Déshabilles toi et fais- moi bander ! » Elle commence alors à s'effeuiller langoureusement, ne gardant que ses talons. Elle se cambre pour mieux montrer son cul et le "diamant" du rosebud qui orne l'entrée de son anus. Une vraie salope professionnel ! Nico n'en perd pas une miette non plus.

Je me lève et l'invite à se mettre à quatre pattes sur le lit, tête tournée vers son mec qu'elle ne voit pas. Je passe ma main sur son sexe toujours trempé. Je rentre deux doigts qui vont jouer avec l'oeuf. Mon autre main joue avec le rosebud, le fait tourner, entrer, sortir... Élise monte tout de suite dans les tours. Les « Oh oui » s'enchainent de plus en plus fort. J'arrête net et lui claque le cul. « Et tu aimes te faire fesser petite salope ? Tu le mérites petite chienne ! Jouer la soumise, mouiller ta culotte toute la matinée, te laisser mener chez toi. Tu as envie de te faire prendre sur le lit conjugal ! Qu'est-ce qu'il dirait ton mec ?
- Oh oui, je suis une salope. Je mérite t'être punie. Je le fais cocu et j'aime ça.
Une claque tombe.
- Tiens prend ça et comptes tout fort !
Je pousse le bouton de l'oeuf à fond.
- Trois... Quatre... Cinq... Six... Sept...
Son cul est rouge. Les chiffres commencent à sortir plus difficilement de sa bouche.
- Huit... Neuf... Sniff..
Ma main chauffe autant que son cul. Des larmes commencent à couler sur ses joues.
- Dix.

Je lui caresse doucement les fesses pour l'apaiser. Mes doigts retournent jouer avec l'oeuf. Trois, puis quatre. Ma main tourne, mon pouce se fraie un passage. Élise a oublié sa douleur et reprend ses gémissements de plaisir. Dans son fauteuil, Nico a ouvert son pantalon et se branle doucement. Je retire le rosebud de l'anus d'Élise. Je monte sur le lit et me positionne juste au-dessus de son cul. Je pose ma bite sur son petit trou et tire la tête l'Élise par les cheveux pour qu'elle n'esquive pas. « Vas-y, écarte tes fesses et recule, viens t'empaler sur ma bite ! » Elle se redresse, la tête tirée en arrière, ses mains sur chacune de ses fesses, écartant sa rosette. Je pousse tout en tirant ses cheveux. Mon gland pénètre lentement, puis est happé par son cul. Je lui lâche les cheveux et la saisi par les hanches. Je m'enfonce doucement en elle. Je pousse jusqu'à ce que mon ventre écrase ses fesses. « Tu me sens bien là petite chienne ? Tu la sens ma bite dans ton fion ?
- Oh oui. Je la sens. Elle est grosse. Elle me défonce ! »

À ce moment-là, j'enlève son bandeau des yeux. Je l'attrape par les bras tirés en arrière et commence à lui pilonner doucement mais amplement le cul. Ses yeux se réhabituent rapidement à la lumière et elle découvre en face d'elle son mec en train de se branler. Elle en reste bouche bée. De simples "Humpf" cadencés par mes mouvements sortent de sa bouche.

« Il te défonce le cul ma chienne ! Tu aimes ça visiblement ! Tu es belle comme ça, prise bestialement ! » Nico se lève et vient embrasser à pleine bouche sa femme. Je lui relâche les bras. Il enfonce alors sa bite dans la bouche de sa femme qui le suce au rythme de mes coups de reins de plus en plus rapide dans son cul. Après quelques minutes, je me retire et lui éjacule entre les fesses. Lui attrape la tête de sa femme et lui éjacule dans la bouche en râlant.

Par domfel69 - Publié dans : Couple candauliste soumis - Communauté : Récits Erotiques X
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