Soumise

Samedi 22 février 6 22 /02 /Fév 15:56

J'étais dans la chambre d'hôtel depuis déjà quelques minutes. Allongé sur le lit, je l'attendais. Je lui avais envoyé le numéro de la chambre. Hier soir, je lui avais confirmé l'heure et lui avait donné comme instruction de venir en jupe, talons, lingerie sexy.

Elle a frappé à la porte. Je me suis levé.
« Oui c'est qui ?
- Une petite voix m'a répondu Nathalie.
- Je n'attends pas de Nathalie.
- ..., je la sentais perplexe derrière cette porte
- Je viens pour... J'obéis. Le dernier mot étant prononcé on ne peut plus timidement.
- Tu obéis ! À qui ? Et pour quoi faire ? Sois plus précise !
- Je vous obéis Monsieur, je viens pour être votre soumise.
- J'ai appuyé sur la poignée, la porte s'est entrebâillée. Tourne-toi, dos à la porte, mains dans le dos. Pose ton sac et ton manteau au sol.
- Bien Monsieur. Je l'ai entendu faire demi-tour, son sac et son manteau froisser la moquette du couloir.  »

J'ai ouvert la porte en grand. J'ai jeté un œil à droite et à gauche. Je lui ai posé un bandeau sur les yeux. Puis, j'ai attaché ses mains dans le dos. J'ai ramassé le sac et le manteau, je suis rentré et les ai posé dans un coin de la chambre. Je suis revenu vers la porte, elle n'avait pas bougé. J'ai revérifié que le couloir était bien vide. « Écarte les jambes ! ». Elle a doucement écarté ses pieds. Le mien est venu s'insérer entre les siens et les a forcé à augmenter l'amplitude de l'écartement.

J'ai gardé ma jambe entre les siennes, mon corps frôlant le sien. J'ai posé mes mains sur ses hanches et mes doigts ont lentement remonté sa jupe jusqu'à découvrir son cul. Elle a poussé un léger soupir. Ma vue plongeante avait découvert un string noir. La ficelle se perdait entre ses fesses. Ma main gauche a maintenu la jupe, la droite a écarté la ficelle puis a plongé dans l'entre-jambe.

« Tu mouilles déjà comme une chienne en chaleur !
- Vous m'excitez terriblement Monsieur.
- C'est moi qui t'excite ou l'idée de te faire prendre comme une traînée par un homme qui n'est pas ton mari ?
- Les deux, Monsieur »

À cet instant j'ai entendu un bruit au bout du couloir. J'ai entouré son bassin de mon bras gauche et je l'ai tirée en arrière. J'ai fermé la porte avec le pied et je l'ai plaqué contre la porte refermée. Ma jambe droite de nouveau entre ses jambes écartées. Ma main droite, sous sa jupe, n'ayant pas quitté sa chatte. Ma bouche contre son oreille, nous avons écouté passé 2 employés dans le couloir de l'hôtel. Mes doigts frottant son clitoris puis s'insérant dans sa chatte trempée.

«  Tu dégoulines complètement. Tu es excité comme une salope qui n'a pas baissé depuis des semaines !
- Oh oui Monsieur, je n'en peux plus, j'ai envie de vous.
- Doucement ma salope, tu peux encore tenir !  »

Je reprends son bassin avec mon bras gauche et la fais pivoter vers l'intérieur de la chambre. Ma jambe pousse pour l'inciter à avancer. À petits pas, ma main toujours dans sa chatte, elle avance et pénètre dans la chambre. Je la dirige vers une table posée contre le mur. Ses cuisses viennent toucher le bord de la table. « Couches-toi sur cette table !  » et en même temps ma main gauche appuie sur son dos et mon pied ré-écarte les siens.

Mes deux mains re-soulèvent sa jupe et cette fois la bloquent définitivement au-dessus de ses fesses. J'attrape deux cordes et attaches chacune de ses chevilles à un pied de la table. Je me place à côté d'elle, ma main gauche dans ses cheveux la maintenant plaquée contre la table, la main droite donne une claque sur chacune de ses fesses.

Un «  Aie » spontané s'échappe de sa bouche.
«  Pardon ?
- Excusez-moi Monsieur, je n'ai pas l'habitude.
- Il va falloir la prendre. Quand je te claque ainsi je veux t'entendre dire "Merci monsieur, je veux que vous vous occupiez de mon cul".
- .... Deux nouvelles claques retombent sur ses fesses.
- hum, étouffé. Merci monsieur. Je veux que vous vous occupiez de mon cul.  »

Ma main droite se pose sur ses fesses, les caresses doucement. Puis, elle tire le string vers le bas. Ses jambes écartées le maintiennent coincé à mi-cuisse. Mon majeur et l'index écartent sa chatte et la pénètre. Mon pouce se place sur son anus et commence à le masser pendant que les deux autres branlent sa chatte. « Je vais bien m'en occuper de ton cul de chienne » tout doucement, son petit trou se détend, mon pouce s'enfonçant juste en le massant. Une petite pression supplémentaire et le voilà dans son cul. Mes doigts, telle une pince, dans son cul et sa chatte, commencent de plus en plus rapidement mouvement. Allongée sur la table, elle souffle et gémit. Avant qu'elle jouisse je retire ma main. J'attrape un petit rosebud et le pose sur son anus. Le froid de l'objet la fait sursauter. Je masse son petit trou avec la pointe du rosebud et doucement l'insère dans son cul en chaleur.

Ma main gauche tire sur ses cheveux et l'oblige à se redresser. Je l'embrasse à pleine bouche. Sa langue me répond avec fougue. Je la laisse ainsi, debout, jambes attachées à la table. Je me déshabille doucement. Je m'assieds sur la table, dos contre le mur. Je déboutonne son chemisier, fait sortir ses seins de son soutien-gorge en dentelle. Je l'embrasse à nouveau. Ma main sur sa nuque. «  Maintenant tu vas me sucer !  » Ma main attire sa tête vers mon sexe dressé. Elle ouvre la bouche. Je lui enfonce ma bite jusqu'aux couilles et je la maintiens dans cette position humiliante, mains attachées dans le dos, jambes attachées et écartées contre la table, la nuque bien dégagée, ma main tenant ses cheveux ramenés en queue de cheval. Je sens sa bave couler lentement de la commissure de ses lèvres et tomber sur mes couilles. « Hum, ta bouche est bien chaude, je vais la baisser avant de m'occuper de ta chatte et de ton cul »

Ma main tire ses cheveux en arrière et la redresse. Je lui détache le bandeau. Nos yeux se croisent pour la première fois aujourd'hui. Son maquillage commence à couler sous l'effet de la transpiration et de cette gorge profonde qui lui a fait monter les larmes. Je l'embrasse à nouveau, encore plus longuement. Je me mets à genoux sur la table. Mes deux mains sur sa tête l'obligent à venir avaler mon sexe. Elle ouvre encore la bouche en bonne soumise. Mes hanches commencent à onduler, mon sexe coulisse dans sa bouche, sur sa langue. Doucement, puis de plus en plus vite, et avec des mouvements de plus en plus amples. Je l'encourage « Allez, tu la sens au fond de ta gorge ? Je te défonce bien la bouche, là. Je vais me vider sur ton beau visage ». Ma bite sort de sa bouche. Je fais des pauses où je pose mon gland sur la langue tendue. Je lui baise la bouche comme ça, longuement, jusqu'à lui éjaculer mon sperme au visage.


Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Samedi 5 octobre 6 05 /10 /Oct 23:38
Elle a ouvert la porte de la cave et est entrée. Je l'ai suivi. J'ai refermé derrière moi. La pièce n'était pas grande et très encombrée. Je lui ai pris le bras.
- Mets-toi face à la porte. Penche-toi en avant, mains sur la porte et jambes écartées.
Elle a posé ses mains sur le haut de la porte et a reculé ses pieds.

Nous étions dans la cave de son immeuble. Nous étions entré par une porte de service sans se faire remarquer. Il était aux alentours de 18h30. Son mari et ses enfants l'attendaient plus haut sans savoir qu'elle était déjà là, dans les sous-sols.

J'ai placé un pied entre les siens et j'ai donné un petit coup à droite et à gauche. Docilement, elle a écarté les jambes. J'ai remonté sa jupe sur ses fesses et j'ai déchiré ses collants à l'entre-cuisses. Elle a sursauté. Ma main s'est glissée entre ses fesses et est descendue jusqu'à frotter sa chatte et son clitoris. Mes doigts ont écarté son string et se sont insérés dans sa fente.
- Tu mouilles déjà ma salope. Ça t'excite de te faire doigter quelques mètres sous les pieds de ton mari .
- Oui Monsieur, la situation m'excite beaucoup.

 

On se connaissait depuis de nombreuses semaines mais c'était notre première rencontre. Nous tchations régulièrement, la température montait vite. Elle avait parfaitement enfilé la combinaison de la soumise virtuelle. En plus des dialogues chauds, elle exécutait des défis à ma demande et m'envoyait régulièrement les photos prouvant qu'elle avait obéi.
 
J'ai commencé à la branler énergiquement. Le pouce dans sa chatte, le reste de ma main qui frottait vigoureusement son clito. Mon autre main claquait son cul. Son déhanchement et ses gémissements ne laissaient pas de doute, elle était très excitée. J'ai arrêté. Je me suis accroupi derrière elle, une main sur chaque fesse et j'ai commencé à lui lustrer l'anus à grands coups de langue. Elle gémissait de plus en plus fort.
 
Plus d'une fois je lui avais proposé qu'on se rencontre. Malgré le plaisir évident de se retrouver en virtuel, elle refusait systématiquement le passage au réel. J'avais tenté la gentillesse, le clash, la bouderie mais rien n'y faisait. Finalement c'est le hasard qui a tout débloqué.
 
Ce soir-là, comme souvent dans le métro, je pensais à elle. Je regardais discrètement autour de moi, peut-être était-elle là à quelques mètres. On ne sait jamais, nous habitons la même ville et le monde est petit. En tournant la tête, mon regard s'arrête sur les chevilles d'une femme assise au milieu du wagon. Je ne voyais pas sa tête, mais ce petit tatouage géométrique sur la cheville droite... J'en étais quasiment sûr, c'était elle.

 

Je me suis déplacé sur le côté. J'ai posé ma main sur sa tête.
- Viens me sucer ma salope. Montre-moi tes talents. Regarde-moi en même temps que je vois l'envie dans tes yeux.
Elle ouvre la bouche et enfourne mon sexe déjà bien dur. Elle l'avale puis en fait le tour avec la langue.
- Mais tu es une vraie experte. T'as dû sucer un paquet de mecs pour avoir ce niveau !
Je pose ma main sur sa tête et m'enfonce jusqu'au fond de sa gorge. Ses yeux se révulsent. Je me retire et m'agenouille. Je l'embrasse à pleine bouche avant qu'elle est repris son souffle. Je me redresse et recommence, mais un peu plus longtemps.

Bousculade à la station suivante. Le métro est bondé. Il me semble avoir vu la femme à la cheville tatouée se lever : une jupe noire. Sans réfléchir, je sors. Je suis cette femme sans avoir pu voir son visage. Une fois dans la rue, j'accélère et la rattrape. Cette silhouette, ces cheveux, ce style bourgeois sexy mais pas vulgaire, ça correspond, je suis presque sûr de moi. J'ai lancé un :
- Babeth !
Elle s'est retournée immédiatement. Je l'ai rattrapée et me suis planté face à elle. Elle m'a regardé.
- Bonjour monsieur, quelle surprise !
- J'espère que tu la juge bonne ?
- Oui, évidemment Monsieur.
- On a souvent imaginé notre rencontre en tchat mais jamais comme ça, par hasard. Je t'ai vu dans le métro, je t'ai rattrapée, maintenant je ne te lâche pas ! Dis-je en souriant.
- Monsieur, mon mari et mes enfants m'attendent, je ne peux pas vous suivre.
- Tant pis, c'est moi qui te suis. Je t'accompagne jusque chez toi. Tu n'as pas le choix.
- D'accord Monsieur.

 

En chemin je la sermonne de m'avoir si longtemps refuser une rencontre. Elle se défend tant bien que mal. Je la laisse se perdre dans des excuses bancales. Puis je la coupe.
- Inutile d'en rajouter. Maintenant qu'on s'est rencontrés, je vais enfin savoir ce que tu as dans le ventre.
Le silence s'installa quelques minutes, jusqu'à ce qu'elle s'arrête.
- Voilà, j'habite l'immeuble au bout de cette rue. Mais ma famille m'attend.
- J'ai bien compris, ne te fais pas de soucis pour ça. Il me semble que le métro est tombé en panne tout à l'heure. 30 minutes bloqués dans la rame, sans pouvoir téléphoner pour avertir, c'est long.
- Ça arrive quelques fois.
- Attention ! Top ! Le métro vient de s'arrêter. Ne perdons pas de temps, conduis-nous dans ta cave sans nous faire remarquer. Tu en as une ?
- Oui Monsieur.

Je l'ai remise en position contre la porte. Je me suis placé derrière elle et je l'ai pénétrée d'un coup. Les deux mains sur les épaules, de grands coups de reins dans ses hanches. Elle crie sans retenue. Si quelqu'un passe dans les caves, il ne peut pas nous louper. Sans compter, les claques sur son cul, un bruit franc, claquant et significatif.
- Tu vois que c'est mieux en réel ! Tu préfères te branler devant ton écran ou que je te défonce comme une bonne chienne dans cette cave ?
- Ahh, je préfère que vous me défonciez Monsieur.
- Content de te l'entendre dire. D'ailleurs redis-le, je veux que tu réclames !
- Oui Monsieur, Ahhh, j'aime que vous me preniez comme une salope. Faites-moi jouir !
- Tu dis ça parce que tu veux remonter le plus vite possible là-haut ?
- Non Monsieur, c'est la vérité, j'aime être votre soumise, votre chienne.
Après une dernière claque sur son cul, je l'attrape par les cheveux :
- Viens me sucer, je vais finir dans ta bouche. T'as intérêt à tout avaler si tu ne veux pas en avoir sur tes vêtements.

 

Je prends sa tête à deux mains et je lui baise la bouche. Un peu de bave s'échappe par la commissure de ses lèvres. Elle met ses mains sous son menton pour que ça ne dégouline pas dans son cou. Je me bloque cambré en arrière et j'éjacule en longs jets dans sa bouche. Elle déglutit comme elle peut, en serrant bien les lèvres. Je me retire d'un coup. Je la relève et l'embrasse à pleine bouche.

Nous nous réhabillons très vite. Nous sortons des caves et remontons au rez-de-chaussée. Je la laisse, un baiser dans le cou :
- À très bientôt Babeth. Tu ne peux plus fuir maintenant.
- À bientôt. Je n'en ai pas l'intention !
Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Lundi 22 juillet 1 22 /07 /Juil 00:13

Elle est là, au milieu du salon, nue, à quatre pattes sur le carrelage, les yeux bandés. Des pinces à papier sont
accrochées à ses tétons et lestées par une petite chaîne. Elle attend, elle écoute chaque bruit. Elle a peur de toute évidence.

Il faut dire qu'il y a 20 minutes on ne se connaissait pas. Rencontrée sur un site, le courant est passé. Après quelques semaines, ayant acceptée la rencontre, je lui donnait comme défi de venir chez moi en pleine journée, avec pour seul tenue un imperméable et des talons hauts.

A vrai dire, je m'attendais à ce qu'elle se dégonfle. Mais non ! A l'heure dite, elle sonnait à la porte. Je l'ai faite entrer, lui ai posé un bandeau sur les yeux, enlevé son imperméable. Et maintenant elle est là à quatre pattes dans le salon.

Je me suis déshabillé pour être à l'aise. Je me suis servi un verre, ais rassemblé les accessoires utiles. Elle a écouté tous ces bruits, tous ces mouvements en ce demandant ce qui l'attendait. Elle sait que le jeu va bientôt commencer, elle m'entend tourner autour d'elle, m'arrêter pour admirer sa croupe, son visage, ses seins tendus.

Je prend une chaise, la tire face à elle. Je m'assois au bord, jambes écartées, sexe dressé. Je caresse ses lèvres avec mon gland, elle ouvre la bouche instantanément et cherche à avaler mon sexe. Je pose ma main sur sa tête pour la retenir et lui dis : « Doucement, lèches le bien, prends ton temps, tu l'avaleras bien assez tôt ! ». Elle sort sa langue et commence à me lécher, sur toute la longueur, à jouer avec le gland, à me donner des coups de langues sur les couilles. « C'est bien, tu es une bonne suceuse. Continues ! ».

Un petit coup vient cingler le flanc de son sein droit. Elle ne le voit pas, mais j'ai à la main une longue tige flexible me permettant de jouer avec ses seins pendant qu'elle me suce. La surprise et la douleur lui font arrêter mécaniquement son entreprise de suçage. Je lui reprend la tête à une main et lui fourre ma bite dans la bouche pour lui rappeler sa tâche. Et un deuxième coup tombe sur la pince tenant son téton.

J'ai pris les commandes, ma main lui indique le tempo. Sa bouche va et vient sur mon sexe. Régulièrement une petite giclette tombe sur ses seins, ses tétons, les pinces ou la chaîne les tenant. Puis je l'arrête net, ma bite collée au fond de sa bouche. Elle donne un premier mouvement de tête pour se libérer, un coup un peu plus sec que les autres tombe sur son sein. « Bouges pas ! ». Elle se calme mais je sens sa bave tomber sur mes couilles. Je lui redresse la tête, elle respire bouche grande ouverte pour reprendre de l'air. Je me baisse et l'embrasse à pleine bouche.

Je repousse la chaise derrière moi et me relève. Elle baisse la tête et respire profondément. Mais la pause est de courte durée, la tige s'est abattue sur son cul. Sa tête s'est immédiatement redressée. Je glisse ma main gauche entre ses fesses, doucement lentement vers son sexe. Il est trempé. J'écarte ses lèvres et commence à titiller son clito. De la main droite, j’abats une nouvelle fois la tige sur son cul.

Je la masturbe comme ça pendant de longues minutes. Alternant caresses et coups de tige. Puis je pose la tige et me place à genoux derrière elle. Je lui prend chacune de ses fesses à pleine main et plonge ma langue dans son petit trou. Ma langue remonte en de longs mouvements, de sa chatte vers son anus. Mes mains écartent au maximum son cul, de temps en temps elles le lâche, se lèvent et s'abattent en un coup sec pour mieux le ressaisir. Ma chienne gémit de plus en plus.

Je me redresse et la pénètre d'un coup. Elle pousse un petit cri. Je m'arrête au fond de sa chatte, tend un bras et vient faire bouger ses seins. Puis je me retire doucement et rerentre d'un coup sec le plus loin possible. Je recommence à augmentant lentement la cadence. Elle pousse maintenant de « oh, oui » et son bassin fait ses propres va et vient. Je m'arrête et lui claque une fesse.

Je me retire complètement et me mets debout. « Je vais te prendre le cul, ma belle ! » Je me penche en avant, tend un bras, lui glisse un doigt dans la bouche. De l'autre main je lui pénètre l'anus avec un doigt, puis deux. Je lui branle le cul. Ses dents serrent mon doigt dans sa bouche. Je m'arrête, place mes pieds de chaque côté de son cul. Je me baisse, écarte ses fesses avec mes mains et présente mon gland sur son anus. Je pousse doucement, mes mains la saisissent au bassin pour l’empêcher de descendre. Mon gland pénètre doucement. Je pousse un peu plus fort, ma bite commence à disparaître entre ses fesses, mon pubis fini par les toucher. Je commence doucement à la limer. Elle gémit.

J’accélère enfin, je lâche les chevaux. Je lui pilonne le cul. Nous poussons tous les deux des cris de plaisir. Je finis par jouir dans son cul (avec préservatif !). Je lui détache le bandeau puis m'affale sur le dos à côté d'elle. Elle se baisse et m'embrasse puis se blottît contre moi.

Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Jeudi 10 janvier 4 10 /01 /Jan 23:12

Suite de "Offerte par son mari, soirée soumission surpris"

 

Vendredi matin, mon téléphone sonne. C'est Olivier : « Salut, j'ai quelque chose à te proposer. Tu es libre cette après-midi .
- Ça dépend pourquoi (rire).
- Je t'explique. Avec Agnès, on a pris une demi-journée de RTT pour ce faire une après-midi coquine. Mais on vient de me coller une réunion ultra importante et je vais devoir annuler. Autant que quelqu'un en profite, Agnès étant de toute façon à la maison.
- Waouh sympa. Notre soirée de l'autre soir, vous a visiblement plu. Agnès est d'accord .
- Je ne lui ai pas dit encore. Mais effectivement elle a beaucoup apprécié son expérience de soumise. Mon avis qu'elle ne dira pas non, d'autant que je vous rejoindrais en fin de journée.
- Oui mais moi je pourrais pas rester ce soir.
- Tant pis, je ferais la relève alors. Je l'appelle .
- Attends, ton idée de relève me donne une idée. Ne l'appelles pas. Ou mieux appelles là mais dis-lui que tu auras un peu de retard. Que tu arriveras vers 15h et qu'elle se tienne prête en t'attendant : tenue sexy, etc.
- Toi tu as une idée derrière la tête. Je peux la connaître .
- Ce sera une surprise pour toi aussi quand tu rentreras. Mais fais-moi confiance, tu regretteras pas !
- Ok, je l'appelle alors pour l'avertir de mon faux retard. À plus, on se rappelle plus tard pour en discuter.
- Sans problème. A
- Et amusés toi bien !
- Ne t'en fais pas pour ça ! »
Vers 15 h, je suis devant chez Agnès et Olivier. Je frappe à la porte. J'entends alors Agnès arrivée en disant : « Tu as encore oublié tes clés ! » La porte s'ouvre sur une Agnès tout sourire, en talons, bas, guêpière et string. En me voyant elle ne peut esquiver un mouvement de pudeur, ses deux petites mains cherchant à cacher l'étendue de son indécence. « Bonjour Agnès, Olivier m'a appellé. Il aura encore un peu de retard. Il m'a gentiment proposé de venir m'occuper de toi pour te faire patienter. Tu es d'accord .
- Bonjour... Monsieur. Excusez ma surprise. Oui je suis d'accord, j'aime quand vous occupez de moi.
- Bien. Je vois que tu maîtrises parfaitement et apprécies ton nouveau rôle. »

Je rentre dans la maison et referme la porte derrière moi. Je m'approche d'Agnès, la prend par la taille et l'embrasse gentiment sur la bouche. Puis je l'entraine à me suivre dans le salon. « Mets toi à quatre pattes sur la table basse du salon ! » Agnès pose ses genoux sur la table et se penche en avant. Je la caresse doucement pour la faire frissonner. Je lui relève son menton, caresse sa bouche. Mon doigt écarte ses lèvres. Instinctivement elle me lèche avec sa langue. Je lui donne à sucer entièrement puis le retire et l'embrasse à pleine bouche.

 

Je me relève et me dirige vers son cul. Je pose mes deux mains sur chacune de ses fesses et les palpe sensuellement. Puis une petite claque tombe sur l'une de ses fesses. Ma main descend doucement dans son entre-jambes. D'un doigt j'écarte son string et entrouvre ses lèvres. Elle mouille déjà abondamment. Une autre claque tombe. J'attrape dans un sac un vibromasseur. Je l'allume, vitesse maximum. Puis je le glisse entre ses jambes, remonte doucement vers son clito, le frotte à sa chatte. Agnès se tortille de désir. Je le frotte encore un peu plus fort et le place bien sur son clito. Une autre claque tombe. J'écarte à nouveau son string et pénètre le vibro dans sa chatte doucement mais jusqu'au bout. Puis je replace son string te manière à maintenir le vibro en place.
J'attrape maintenant des boules de geisha d'une bonne taille. Je les pose sur son cul et les laisse rouler une à une entre sa raie et venir taper sur le vibro. Je les enduis de gel et en mets aussi une bonne giclée sur son anus. Je présente la première boule devant son petit trou. Je commence à appuyer. Agnès fait un mouvement en avant pour esquiver. Une claque tombe sur ses fesses. « Ne bouges pas elles vont rentrer ! » J'enlève la boule et commence à lécher le cul d'Agnès tout en lui malaxant les fesses. Un doigt entre sans difficulté dans son anus lubrifié. Je lui branle doucement le cul. Puis j'ajoute un autre doigt, puis un autre. Son petit trou se dilate petit à petit.

 

« Redresses toi et écartes tes fesses ! » Agnès relève le buste et écarte ses fesses de ses deux mains. Je représente la boule. Cette fois-ci elle glisse plus facilement. Je pousse un peu. La voilà à moitié rentrée. Une dernière petite pichenette et magie, elle disparaît totalement dans les fondements d'Agnès qui ne retient pas un gémissement. Je reprends le même processus pour la deuxième et la troisième boule. Les boules s'entrechoquent entre elle et le vibro leur transmet ses vibrations. Agnès gémit sans discontinué.

Après une dernière claque sur les fesses, j'ordonne à Agnès de se remettre à quatre pattes. Je me place devant sa tête, baisse mon jean et lui présente mon sexe déjà dur. « Maintenant tu vas me suces mais surtout ne baisses pas les yeux. Regardes moi ! » J'attrape sa nuque et plonge ma bite au fond de sa bouche. Je la laisse me sucer à son rythme et plonge mon regard dans ses yeux pour bien qu'elle ressente cette position de soumise. Puis je plaque sa tête sur ma bite pour qu'elle la garde le plus profond dans sa bouche et je lui pince le nez. Agnès cherche à dégager sa tête, mais je la maintiens. « Ne bouges pas ! » De la bave coule à la commissure de ses lèvres. Je me retire d'un coup, tire sa tête en arrière et la force à me regarder. Elle bave de partout, je sens qu'elle a honte et pourtant elle est belle ! Je lui remets ma bite dans la bouche et la laisse à nouveau me sucer à son rythme tout en me regardant.

 

Je l'arrête avant de jouir. « Maintenant, allonges toi sur le dos, tête dans le vide ! » Agnès se troune, pose doucement ses fesses, remplies par les boules de geicha, sur la table puis s'allonge. « Lèves les jambes et les bras ! » Elle obéit. J'attrape ses poignés et les attaches ensemble avec des menottes, en passant derrière ses jambes. Elle est bloquée les quatre fers en l'air, sa tête tombant en arrière dans le vide.

Je m'accroupi et commence à lui baiser la bouche. En tendant le bras, je tapote sur le vibro toujours fiché dans sa chatte. J'accélère le rythme. Juste avant de jouir, je me retire pour mieux lui innonder le visage avec mon sperme.

Je l'embrasse une dernière fois puis je la tire par derrière pour lui remettre la tête sur la table. Je me rhabille. Je sors une feuille et un stylo, écris quelques phrases et poses la feuille sur le canapé.

 

Puis je dis en revoir à Agnès qui évidement proteste. Je referme soigneusement la porte derrière moi.

 

Sur le papier est écrit : "Salut Olivier, Agnès a parfaitement rempli son rôle de vide couille. Elle n'a pas encore été pénétré aujourd'hui, je te laisse le soin de la faire, elle est déjà en position pour. Par contre je ne te garanti pas qu'elle n'ai pas joui plusieurs fois d'ici là avec ce qu'elle a dans les orifices. Amuses toi bien et à très vite ! "


Par domfel69 - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 23:38

Un soir, en rentrant du travail, Olivier annonce à Agnès « Vendredi j'ai un collègue à manger. Pas de soucis ?
- Non, on n'avait rien de prévu.
- Parfait. On fera un petit repas sans chichi. »

Arrive le vendredi. 19h, je sonne à la porte. Olivier ouvre « Salut entre ! Je te présente Agnès, ma femme ». Agnès me tend la main, je la lui prends et l'attire à moi pour lui faire la bise. « Enchanté de te rencontrer. Tu es ravissante, Olivier m'avait pas menti. » Agnès rougie légèrement en murmurant un merci.

Nous commençons l'apéro. On ouvre la bouteille de champagne que j'ai apporté. La discussion va bon train. Je suis assis à côté d'Agnès et je m'assure qu'elle n'a jamais son verre vide. Je profite de chaque occasion pour la frôler, voir la toucher. D'abord, la main sur l'épaule après une remarque drôle, puis sur la main, puis je me rapproche au point que mes genoux frôlent les siens. Je sens qu'Agnès commence à me trouver entreprenant, surtout devant son mari. Mais Olivier ne réagit pas, au contraire, il n'hésite pas à nous laisser seuls quelques instants pour aller chercher je ne sais quoi dans la cuisine.

Pendant son absence, je me penche vers Agnès, pose ma main sur sa cuisse et lui susurre : « Tu me plaîs beaucoup Agnès, j'ai très envie de toi...
- Eh ! Doucement ! Olivier peut revenir d'un instant à l'autre !
- Et alors, ça ne me dérange pas.
- Quoi ? Qu'est-ce que ça veut dire ? »

À ce moment, Olivier re-rentre dans la pièce. J'enlève ma main et me tourne vers Olivier « Olivier, ta femme est vraiment superbe. Accepterais-tu de la partager avec moi ce soir ?
- Oui bien sûr, avec plaisir si elle est d'accord
- Tu m'as bien dit qu'elle aimait être soumise ?
- Oui, de temps en temps on fait quelques jeux SM soft mais je sais qu'elle fantasme d'aller plus loin. »

Agnès est bouche bée. Le dialogue a été très rapide : ma demande sans gêne, la réponse d'Olivier et pour parachever le tout son fantasme de soumission. Olivier et moi la regardons en sirotant nos coupes, attendant sa première réaction. Elle a honte de voir son fantasme ainsi dévoilé devant un inconnu. Mais en même temps une excitation commence à monter entre ses jambes. Elle reprend ses esprits « Vous aviez tout prévu, c'est ça ?
- C'est possible... répond Olivier. Mais il n'y a rien d'obligatoire. Tu es parfaitement libre de refuser ma chérie.
- Nous allons griller une cigarette dehors. On te laisse réfléchir. »

Nous sortons sur la terrasse. Agnès reste assise dans le canapé, les yeux dans le vide. Tout tourne dans sa tête. Olivier l'a trahi en l'offrant à un autre sans la prévenir et en révélant son fantasme. Mais au fond, n'est-ce pas ce dont elle rêvait ? L'occasion ne se présentera peut-être pas 2 fois...

À notre retour dans le salon, je prends l'initiative « Alors, Agnès, tu as décidé ? Si tu refuses, tu as juste à dire non. Je vous saluerais et vous laisserais finir la soirée tranquillement, sans rancune. Mais si tu acceptes, je veux entendre un "oui Monsieur, je veux être votre soumise et je vous obéirais quel que soit votre ordre", et il sera alors trop tard pour faire machine arrière. Alors ?
- ...
- Chérie, ne fait pas attendre Monsieur !
- ... Oui Monsieur, je veux être votre soumise et je vous obéirais quel que soit votre ordre.
- Debout ! On va commencer par te trouver une tenue plus adéquate pour ton rôle ! »

Agnès se lève. Je la prends par le bras et lui fait signe de suivre Olivier qui va en direction de la chambre. Olivier s'assoit sur le lit, je l'imite. « Maintenant, déshabilles toi ! ». Agnès commence à enlever ses vêtements un à un, ses chaussures, ses chaussettes, son pull, son tee-shirt, son jean. Puis elle marque un temps d'arrêt. « Ne t'arrêtes pas. Il reste l'essentiel ! » Elle reprend son effeuillage, son soutien-gorge et pour finir sa culotte. « Très très belle ! Tournes pour que je t'admire ! ». Elle tourne sur elle-même deux / trois fois. « Olivier, toi qui connaîs bien sa garde-robe, qu'est-ce qui pourrait faire l'affaire ?
- Laisse-moi réfléchir. Elle a beaucoup de choix en lingerie, on est assez fan. Elle a un très joli collant intégral en résille ouvert à l'entre-jambe, des nuisettes transparentes, un ensemble string soutien-gorge ouvert à l'entre jambe et aux tétons, des porte-jarretelles, des bas de toutes les couleurs, une guêpière.
- J'adore les collants intégraux. Banco. et ajoutes les talons les plus hauts que tu aies. »

Agnès commence à chercher dans ses tiroirs. « Olivier, j'imagine que vous avez quelques jouets en réserve ?
- Oui oui, on a une bonne panoplie.
- Fais-moi voir ça que l'on complète la tenue de madame. »

Olivier ouvre un tiroir rempli d'accessoires en tous genres. Je fouille un peu, je sors un joli petit plug anal / bijou, 4 bracelets en cuir avec mousqueton, une petite chaîne de 50 cm et un bâillon boule. Agnès est maintenant rhabillée, elle se tient debout dans son collant intégral, perchée sur ses talons, la tête baissée.

« Mets-toi à quatre pattes sur le lit ! ». Agnès obéi et doucement monte sur le lit à quatre pattes et nous présente son cul. Je commence par attacher les bracelets à ses chevilles et ses poignets. Je fixe les extrémités de la chaînette à chaque mousqueton des bracelets de ses chevilles. Je fais glisser lentement le plug le long de ses jambes, remonte vers son cul, titille légèrement son anus. Puis je redescends vers son ventre, ses seins, son cou.

Je présente le plug devant sa bouche : « Suces le bien ! ». Elle entrouvre ses lèvres et aspire doucement le plug et fait tourner sa langue autour. Je retire le bijou anal et commence à l'appuyer sur son petit trou. Par petite poussée j'entrouvre son cul, je crache dessus pour rajouter de la salive, l'étale avec le plug puis appuie plus fort le faire rentrer. Il entre sans grandes difficultés, le simili diamant fermant superbement l'orifice.

« Lèves la tête et ouvre la bouche ! » Je lui mets la boule dans la bouche et attache le bâillon derrière sa tête.« Bien maintenant passons à table ! »

De retour dans le salon, Olivier et moi retournons nous asseoir dans le canapé pour finir l'apéro. « Mets la table, deux couverts ! ». Agnès commence alors de lents allée-retours entre la cuisine et la table du salon, la chaîne et les talons ne lui permettant que des petits pas.

Nous commençons alors le repas, tout en continuant de discuter comme si de rien n'était. Agnès va d'Olivier à moi, nous sert à boire, puis les plats. À chaque fois une main remonte le long de ses jambes, vient appuyer sur le plug et titiller son clitoris, un ou deux doigts s'immisçant dans sa fente qui ne cesse de s'humidifier. Une fois le fromage servi, je l'appelle : « Agnès vient par ici et mets-toi à genoux ». Elle s'agenouille à côté de moi. Je me baisse et attache les mousquetons de ses poignets à ceux de ses chevilles. Puis je sors la boule de sa bouche. « Tu as faim ?
- Oui monsieur.
- Tiens, manges ça. » Et je lui présente alors au creux de ma main quelques morceaux de fromage. Elle se penche et mange doucement dans le creux de ma main. Je prends alors mon verre de vin et commence à la faire boire doucement. L'opération est périlleuse et du vin coule de chaque côté de sa bouche, puis dans son cou.

« J'imagine que tu as encore faim ? Alors, passe sous la table et viens prendre ton dessert ! » J'ouvre alors mon pantalon et sors mon sexe. Agnès avance doucement sur les genoux et viens se placer entre mes jambes. Elle commence à me sucer. L'air de rien, je reprends ma discussion avec Olivier, de temps en temps je pose ma main sur la tête d'Agnès pour la forcer à me garder en bouche. « Changes de côté de la table, Olivier meurt d'envie de t'offrir son dessert ! » Sous la table Agnès se tourne lentement et va se placer entre les jambes de son homme qui lui fourre sa bite déjà bien dure dans la bouche

Après un ou deux allés-retours d'Agnès sous la table, nous sortons enfin de table. Je remets la boule dans la bouche d'Agnès et lui détache les poignets. « Va nous préparer les cafés, on t'attend au salon. » Quelques minutes plus tard, Agnès arrive avec un plateau et nos deux cafés. Elle marche encore plus doucement pour ne pas les renverser. « Donnes le plateau à Olivier et mets-toi à quatre pattes entre nous. » Je pousse alors la table basse sur le côté, libérant ainsi l'espace entre le fauteuil où je suis assis et le canapé où se trouve Olivier. Agnès prend la pose. « Parfait, tiens ton dos bien droit, tu fais une magnifique table basse ! » Après avoir bu quelques gorgés, Olivier et moi posons délicatement nos tasses encore chaudes sur le dos d'Agnès. Elle se concentre pour ne pas bouger. Nous finissons nos cafés le plus lentement possible, enlevant et reposant plusieurs nos tasses sur son dos.

Une fois vide nous les posons définitivement. Je commence alors à caresser Agnès. Elle frémit, mais reste concentrée. J'invite alors Olivier à m'imiter. Quatre mains courent maintenant le long du corps d'Agnès, caressant ses jambes, ses fesses, ses seins, ses épaules, son visage, sa bouche. Les tasses tanguent, mais ne tombent pas. Une main d'Olivier se pose alors sur le sexe d'Agnès et commence à la masturber. Une des miennes commence à jouer avec le plug, à le sortir doucement de son anus. L'excitation est trop grande et une tasse finit par tomber.

Une claque tombe instantanément sur les fesses d'Agnès, qui encaisse en poussant un grand « Huuummm » étouffé par son bâillon. La deuxième tasse tombe. S'ensuit alors une fessée dans les règles, une claque tombant à intervalles réguliers, entrecoupé par de longues caresses. « Olivier, enlèves lui son bâillon et fais-toi sucer pendant que je la corrige. » Olivier se déshabille et se met à genoux devant sa femme, il lui enlève la boule et fourre sa bite dans sa bouche. Agnès le pompe méticuleusement et, à chacune de mes claques, ses gémissements sont maintenant étouffés par le sexe de son homme.

Puis je me déshabille à mon tour, enfile un préservatif et me place derrière Agnès et glisse ma bite dans sa chatte trempée. Mes coups de hanche donnent le rythme à sa bouche qui suce toujours Olivier. Je fais signe à Olivier pour échanger nos positions : il pénètre sa femme pendant que j'enfonce ma bite au plus profond de la bouche d'Agnès. Nous échangeons encore une ou deux fois de rôle, prolongeant le plaisir.

« Olivier, allonges toi sur le canapé. » Pendant qu'il s'allonge, j'enlève la chaînette aux pieds d'Agnès, je la relève, attaches les mousquetons de ses poignets ensemble dans son dos et la fait s'asseoir à cheval sur son homme. Olivier la pénètre jusqu'à la garde puis l'attire vers lui pour qu'elle se penche en avant. Je me présente alors derrière elle. Je lui verse une dose de gel sur l'anus et l'étale doucement. Mes doigts glissent autour de sa rondelle, puis plongent doucement. Un, puis deux, ils tournent... Pendant ce temps, Olivier a commencé de lent va et vient. Je retire mes doigts et étale un peu de gel sur ma bite. Je pose mon sexe à l'entrée de son petit trou. Les mouvements d'Olivier viennent faire buter son anus sur la queue. J'avance légèrement, à chaque mouvement mon gland s'enfonce un peu plus dans son cul. Puis je pousse d'un coup sec, Agnès pousse un long « Aahhh ». Je lui attrape les bras et synchronise mes mouvements avec ceux d'Olivier. Le plaisir monte pour tous les trois. Après quelques minutes nous jouissons ensemble dans un long râle commun.

Je me retire, détache Agnès et finissons la soirée en nous complaisant dans notre luxure.

 

Par coquinfelin - Publié dans : Soumise - Communauté : Récits Erotiques X
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