Histoires de fantasmes
Le métro accélère et quitte le quai. A l'intérieur tu comptes les stations qu'il te reste. Encore quatre. Tu n'est pas à l'aise, le métro le soir n'est pas ton environnement favori. Tu as beau savoir que ça ne se voit pas, tu as l'impression que tout le wagon sait que tu ne portes aucun sous-vêtement.
Tu as fait un peu la tête quand tu as raccroché tout à l'heure : « Rejoins moi ce soir en métro. Je t'attends à 22h07 à la station Place des Alpes, tu prendras la sortie côté Rue Voltaire. Tu mets une jupe longue légère, un chemisier, des bas et aucun sous-vêtement ! ». Tu n'oses pas trop regarder les autres passagers dans le wagon, de peur d'éveiller la curiosité.
A l'avant dernière station, deux hommes sont montés. Ils sont venus s’asseoir juste en face de toi. Même sans lever la tête, tu sens qu'ils te regardent. Ils se parlent doucement en pointant le menton dans ta direction. Tu finis par oser lever les yeux. Tu croises leurs regards, un des deux te fait un clin d’œil. Tu te lèves précipitamment et tu te diriges vers la porte. Ainsi tu leurs tournes le dos.
"Place des Alpes", le métro freine et s'immobilise. Tu descends sans te retourner. Les deux hommes descendent aussi, ils te doublent et l'un deux lance un "Bonne soirée !" en se retournant. Tu es un peu paniquée, tu cherches la bonne sortie, scrutent les panneaux de direction. Ah voilà "Rue Voltaire". Tu marches en direction de la sortie, quand ton téléphone vibre. C'est un SMS : "Une fois rue Voltaire, tu continues tout droit, trottoir de droite." Un frisson descend le long de ton dos... Tu reprends ta marche vers la sortie, les pensées se bousculent dans ta tête. Tu ne fais pas attention aux deux hommes qui te suivent à distance.
Une fois dans la rue, la douce fraîcheur du soir te ramène sur terre. Tu respires profondément et continue tout droit, trottoir de droite, comme indiqué. Soudain tu entends des pas et une discussion derrière toi. Tu te retournes rapidement et reconnais l'allure des deux hommes du métro. Tu accélères.
Au moment où tu passes devant l'entrée d'une cour de garages extérieurs, une ombre sort de derrière le mur et se place devant toi. La seconde d'après elle te plaque contre le mur intérieur de la cour et t'embrasse fougueusement. Tu me reconnais, après la montée d'adrénaline, le soulagement te libère totalement. Tu te laisses aller. C'est à ce moment que les deux hommes pénètrent eux aussi dans la cour.
Tu pousses un petit cri d'effroi. Je met ma main sur ta bouche. Un des deux hommes attrape tes mains et les attaches dans ton dos, l'autre te bâillonne la bouche. Puis ils te soulèvent, chacun sous un bras. Je passes devant et me dirige au fond de la cour, loin de la rue. Les deux hommes me suivent en te portant. Je m'arrête, ils te posent au sol. « Bonsoir poupée, je te présente Éric et Pascal, tu as sans doute déjà croisé leur pseudo sur le site de rencontres où je t'ai trouvée. Je me suis dit qu'une salope comme toi, c'est vraiment dommage de ne pas la partager. Es-tu prêtes à nous satisfaire ? ». Tu es toujours bâillonnée, tes yeux cherchent les miens dans la semi-obscurité. Après quelques secondes, tu fais un petit oui avec la tête.
L'instant d'après tu es à genoux. Éric t'as libéré les mains, je t'ai enlevé ton bâillon, et tu as 3 belles queues en érection autour de toi. Tu avales la première tout en t'accrochant avec chaque main aux deux autres. Une main se pose sur ta tête et te force à changer de sucette. Puis une autre te tire la tête en arrière et donne plusieurs coup de bite sur tes lèvres. Tu es totalement submergée.
Je te relèves et t'oblige à te pencher en avant. Pascal fourre sa bite dans ta bouche. Éric soulève ta jupe et commence à te caresser. Je m'occupe d'ouvrir ton chemisier et de faire jaillir tes seins. Malgré la fraîcheur de la nuit, ton corps brûle littéralement. Éric, à genoux, te lèche le clitoris, Pascal force ta tête à de rapides va et vient, pendant que mes doigts prennent possession de ta chatte et de ton cul.
Puis le manège tourne, les positions changent. J'en profite pour te mettre une bonne claque sur les fesses, que tu sentes complètement ta condition de femme soumise. Maintenant tu as deux bites face à toi, une main sur chacune, ta bouche passe successivement de l'une à l'autre. Pendant ce temps, Éric a pris possession de ta chatte. Ta tête explose, tu n'arrives plus à tenir une pensée plus de deux secondes, tu es juste capable d'obéir à nos voix, à nos gestes.
Je te relève et t'embrasse à pleine bouche. Derrière toi, Éric et Pascal te soulève et t'empale sur ma bite. Tu t'accroches à mon cou avec tes bras et à mes hanches avec tes jambes. Tu sens alors une autre queue te pénétrer par derrière. Un devant, un derrière, toi suspendu dans l'air, ne touchant plus sol, nos mains te soulèvent et te descendent en cadence. Ton orgasme arrive très vite. Nous en profitons pour échanger les rôles. Tu jouis cinq ou six fois de suite.
Tu es épuisée. Nous te reposons à genoux dans la position initiale. Nous nous branlons tous les trois autour de ton visage. Éric est le premier à venir. Tu ouvres grand la bouche et avales tout son sperme. Puis Pascal te tourne la tête et éjacules sur ta joue. Enfin j'attrape ta tête à deux mains et enfourne ma bite au plus profond de ta bouche. Je me libère en longue giclée dans ta gorge.
Les hommes se rhabillent. Tu restes à genoux, les mains aux sols, à essayer de reprendre ta respiration. Éric ouvre alors un des garages et sort une voiture. Je te relève, je t'embrasse et te dis « Bonne soirée ma chérie ». Je sers la main de Pascal et d'Éric. Tu m'entends leur dire « Je vous la confie les gars, mais n'oublier pas de la ramener propre avant l'aube chez elle ! »
Je te pousse à l'arrière de la voiture, à côté de Pascal. Éric démarre. Pour toi la nuit vient de commencer.
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